Les jeunes consommateurs hyperconnectés attendent notamment des marques qu'elles mettent à disposition plus d'informations sur l'empreinte écologique des produits.
La technologie n’est pas encore prête à produire le niveau de service que peut assurer un humain, même si le consommateur ne mesure pas la valeur ajoutée des tâches accomplies.
Dans ce secteur, le rapport de force face aux distributeurs reste très défavorable aux éleveurs, déjà exposés aux risques d'épizooties et aux frondes des défenseurs du bien-être animal.
Comment l’arbre de Noël a-t-il conquis le monde ? Décryptage historique avant de trancher la grande question : faut-il acheter aujourd’hui acheter un sapin naturel ou artificiel ?
Réveillon chez le Pr Lévêque, épisode 2/3
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L’industrie et le commerce et de ce poisson au cycle de vie si particulier s’inscrivent pleinement dans les grandes tendances de l’économie contemporaine.
Des associations ou des marques prennent le contre-pied des enseignes qui proposent des promotions le 29 novembre pour dénoncer une « journée infernale de surconsommation ».
Les pouvoirs publics cherchent aujourd’hui à structurer le secteur des entreprises qui allient technologies et alimentaire pour rattraper les pays anglo-saxons ou encore l’Allemagne.
Concurrence d’Internet et d’Ikea, nouveaux comportements des consommateurs… Les transformations structurelles ont mis en difficulté l’ex-numéro français, qui va réduire ses effectifs de 20 %.
Moralscore.org, une start-up qui propose de banaliser l’éthique comme critère de choix interroge la place des industriels dans la transition alimentaire.
Missionnés pendant plusieurs décennies sur des opérations de « cost-killing », les acheteurs sont devenus un vecteur de l’innovation collaborative et ouverte sur leurs fournisseurs de confiance.
La procédure de sauvegarde du groupe Rallye, la maison mère du distributeur Casino, révèle notamment des manquements dans l’action du régulateur boursier.
En ouvrant son premier magasin dans le centre de Paris, le géant suédois transforme son modèle d’affaire, ce qui peut être considéré comme une bonne nouvelle pour des centres-villes qui se meurent.
De plus en plus d’acteurs misent sur les travaux chez les particuliers comme levier de croissance. Mais le marché est plus difficile à conquérir que les indicateurs ne le laissent penser.
Même si les marques phares en restent le pivot central, l’univers du luxe est en train de se décomposer en plusieurs entités qui s’éloignent les unes des autres à toute vitesse.
Les initiatives comme « C’est qui le patron ? ! » ont un impact positif mais font porter au consommateur l’entière responsabilité du changement, oubliant les rôles de l’État et des grandes entreprises.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)