Il n’y pas une seule région cérébrale dévolue à la mise en mémoire, mais plusieurs. Et il importe de mieux les connaître dès lors qu’on souhaite prendre en charge ceux dont la mémoire défaille.
Un jeune sur quatre n’aurait pas entendu parler de la Shoah, révèlent des sondages, alors que l’on commémore la libération d’Auschwitz. Comment renforcer l’exercice de ce devoir de mémoire ?
Alors que s’ouvre le deuxième semestre commence le temps des bonnes résolutions. Étudiants, et si vous peaufiniez vos prises de notes ? La recherche montre que le jeu en vaut la chandelle.
On prête aux myrtilles toutes sortes de vertus, depuis l’amélioration de la vision à celle de la mémoire, en passant par la lutte contre la diarrhée. Mais sont-elles avérées ?
Au-delà des peurs qu’il suscite, l’oubli est une force sans laquelle il nous est impossible de vivre dans le présent. Digérer le passé est essentiel à l’équilibre psychique.
Le black-out est une forme spécifique d’amnésie qui résulte du dysfonctionnement de certaines régions cérébrales induit par une consommation excessive ou trop rapide d’alcool.
L’inactivité physique contribue autant au risque de démence que la génétique, selon la recherche. Mais pour bénéficier au maximum de ses effets, il faut augmenter l’intensité.
Il n’y a pas une, mais des mémoires. Et si certaines sont très affectées par le vieillissement, d’autres peuvent au contraire constituer des outils pour lutter contre des pathologies comme Alzheimer.
Si le mur de Berlin est tombé en 1989, la remise en cause du pouvoir communiste a commencé en Pologne 9 ans plus tôt. Aujourd’hui, l’héritage du syndicat Solidarnosc fait l’objet de débats acharnés.
Les souvenirs sont reconstitués dans notre cerveau grâce à un échange fascinant entre l'hippocampe et le néocortex. Une meilleure compréhension de ce phénomène pourrait aider à traiter la démence.
Une récente résolution du Parlement européen condamnant conjointement les crimes du nazisme et ceux du communisme a mis le feu aux poudres. Analyse d’un nouvel épisode d’un long combat mémoriel.
L’esclavage, ses conséquences forment des injustices historiques injustices historiques que tous condamnent moralement. Mais la condamnation morale peut-elle s’assortir d’une réponse politique ?
En prenant conscience de ce qui se passe dans votre cerveau quand vous révisez, vous pourrez améliorer votre capacité à enregistrer puis retrouver des informations dans votre mémoire.
Les neuroscientifiques savent bien qu’un usage excessif des écrans nuit à la mémoire immédiate. Il représente, de plus, un danger pour la « mémoire du futur » qui nous sert à nous projeter, à créer.
La première enquête sur les connaissances et attitudes des Européens eu égard aux questions nucléaires révèle des biais surprenants en France, porteurs d'importantes implications pour la démocratie.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Professeure des universités en études russes et soviétiques, Université de Rennes 2, chercheuse au CERCLE (Université de Lorraine), Université Rennes 2