Les bonnes pratiques scientifiques doivent pouvoir se transmettre. Encore faut-il identifier les méthodes. C’est un travail que se doit d’être collectif.
Myriam Baron, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) and Laurent Jégou, Université Toulouse – Jean Jaurès
La planète science est plutôt restreinte : les 100 plus grandes villes « scientifiques », situées essentiellement en Occident, en Chine et au Japon concentrent plus de 57 % de l’activité mondiale.
Face à la complexité des problèmes auxquels sont confrontés nos sociétés, un certain monopole du droit de parole, réservé à quelques-uns est aujourd’hui remis en question.
La « Marche pour les sciences » qui aura lieu aussi en France demain est l’occasion de rappeler qu’en travaillant à l’avancée des connaissances les scientifiques aident les citoyens.
Aux Etats-Unis comme en France, le contexte politique s'est tendu. Dans un monde d'incertitudes, les valeurs d’ouverture et de tolérance incarnées par la recherche méritent d'être mieux défendues.
Le cerveau, à travers les impressions perceptives associées à la vue, construit le monde autour de nous et nous le présente, comme le ferait un artiste.
Consacrée à l’élaboration de la bombe atomique américaine à partir de 1943, la série « Manhattan » possède tous les atouts narratifs que l’on attend des dispositifs actuels de médiation des sciences.
Les convictions personnelles influent sur notre perception des questions scientifiques. En fonction des cas, elles peuvent entraîner l’acceptation ou le rejet du consensus scientifique.
De quoi sommes-nous constitués ? De milliers de milliards de cellules, qui s’agencent selon des règles dictées par nos gènes. Retour sur quelques principes de la biologie.
Tamolia ancalogon, Acledra nazgul… L’univers de JRR Tolkien inspire les scientifiques quand il s’agit de baptiser de « nouvelles espèces ». Pourquoi un tel engouement ?
Les médias usent – et parfois abusent – de la référence à « une étude » quand il s’agit de traiter un sujet scientifique. Mais au fait, c’est quoi, « une étude » ?
En France et en Europe, la communauté scientifique s’organise pour accueillir les collègues qui seraient bloqués par l’interdiction de voyager aux États-Unis. Et s’inquiète de la portée du décret.
Professeur émérite au département et laboratoire de mathématiques (UMR CNRS 8100), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay