Pour que ça ne gondole pas, une seule solution : rouler très lentement… difficile de traverser le désert en véhicule sans créer de rides dans ces conditions.
Aurélien Bigo, École polytechnique et Kévin Jean, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
La voiture est au centre de nos mobilités, ce qui limite l’usage des transports actifs, tels que la marche ou le vélo. Une situation dont les impacts sanitaires dépassent la seule pollution de l’air.
Une analyse de 46 000 brevets montre que les grands constructeurs cherchent davantage à intégrer les technologies à l’existant qu’à innover radicalement.
Les premiers résultats d’une enquête sur la métropole lilloise soulèvent un certain nombre d’inquiétudes sur l’avenir des déplacements des personnes âgées, trop dépendantes à la voiture.
Jean Debrie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Juliette Maulat, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Comment ont évolué les pratiques et les politiques de mobilité depuis la crise de Covid-19 ? Y a-t-il vraiment eu un « un monde d’après » ? Étude du cas francilien.
Les mesures pour limiter la pollution visent notamment à répondre aux problèmes créés par des décennies de construction ininterrompue dans l'espace du périphérique.
William Emond, Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
La « voiture de demain », électrique et autonome, est parée de nombreuses vertus. Mais plusieurs de ses technologies favorisent le mal des transports. Serons-nous physiquement capables d’y voyager ?
Les débats au sein de l’UE sur l’avenir de l’automobile apparaissent comme une étape logique d’une transition vers ce que la recherche désigne comme un nouveau « système sociotechnique ».
Face à la coalition menée par l’Allemagne pour revenir sur l’interdiction de la vente de voitures thermiques dès 2035, l’UE doit rester ferme sur les principes de son fonctionnement économique.
La décision de l’Union européenne d’interdire la vente de véhicules thermiques en 2035 pourrait créer un ressentiment chez le consommateur en raison des inconvénients des voitures électriques.
Se poser la question n’est pas sans pertinence, même si l’on veut toujours croire à un succès au moment de se lancer : la moitié des alliances échoue et la situation est souvent gérée à l’improviste.
La construction d’infrastructures routières, notamment dans les pays en voie de développement, a des conséquences dramatiques sur les grands prédateurs.
Si la voiture électrique est utile à la transition énergétique, elle n’est pas sans défaut et ne doit pas faire oublier la nécessité de la sobriété en matière de transport.
Une étude récente montre que l'effet à court terme sur les achats de véhicules d'une augmentation, conjoncturelle ou fiscale, des prix du carburant reste limité.
La réponse est plutôt oui, mais en majorité à condition qu’ils restent conducteurs du véhicule, d’après une étude. La ressource rare semble ainsi être les passagers.
Une étude des transactions de ces 27 dernières années fait état d’une rentabilité annuelle moyenne relativement faible – à laquelle il faut retrancher de nombreux coûts.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Chercheur sur la transition énergétique des transports - chaire Énergie et Prospérité - Institut Louis Bachelier, École normale supérieure, Ensae ParisTech, École polytechnique