Wes Moore, candidat démocrate au poste de gouverneur du Maryland, et Joe Biden lors d’un meeting le 25 août 2022 à Rockville, Maryland.
Drew Angerer/Getty Images via AFP
Entre plein-emploi et retour de l’inflation, redécoupage électoral et lois contre l’avortement, les élections de mi-mandat arrivent dans un contexte compliqué qui rend les résultats moins prévisibles.
Mohammad Eslami, directeur de l'Organisation de l'énergie atomique dans le gouvernement d'Ebrahim Raïssi, s'exprime lors de la conférence générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) au siège de l'agence à Vienne, le 26 septembre 2022.
Joe Klamar/AFP
Le régime iranien est contesté à l’intérieur et fragilisé par les difficultés que rencontre en Ukraine son allié russe. Les Occidentaux aimeraient en profiter dans les négociations sur le nucléaire…
Des soldats de l’armée taïwanaise lors d’un exercice de tir réel anti-débarquement dans le sud de Taïwan, le 9 août 2022.
Sam Yeh/AFP
La récente montée des tensions entre la Chine et le duo américano-taïwanais contraint Washington à repenser sa stratégie régionale, qui vise à maintenir un équilibre de plus en plus précaire…
Joe Biden le 17 juin 2022, lors d'un sommet virtuel réunissant les principales économies de la planète, qui tente de s'attaquer au changement climatique au moment où les retombées de l'invasion de l'Ukraine par la Russie soulignent la dépendance du monde à l'égard des combustibles fossiles.
Mandel Ngan/AFP
Les ambitieux projets de Joe Biden en matière de lutte contre le changement climatique se heurtent à un contexte international délicat et à l’hostilité de l’opposition républicaine.
Le 6 avril 2022 à Washington, Elaine Luria, vice-présidente démocrate de la commission des questions militaires de la Chambre des représentants, annonce que la commission invite l’administration Biden à ne pas lever les sanctions visant l’Iran avant d’avoir la garantie que ce pays a abandonné son programme nucléaire militaire.
Kevin Dietsch/Getty Images via AFP
Joe Biden avait promis de revenir au « deal » sur le nucléaire iranien dont Donald Trump avait retiré Washington en 2018. Un an et demi après son élection, ce n’est toujours pas le cas.
Ketanji Brown Jackson, qui devrait être la première femme noire à être nommée à la Cour suprême des États-Unis, avec le président Joe Biden, le 25 février 2022.
Saul Loeb/AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En proposant la candidature à la Cour suprême de la progressiste noire Ketanji Brown Jackson, Joe Biden prend une décision dont les effets se feront encore sentir bien après la fin de son mandat.
Le négociateur en chef du nucléaire iranien, Ali Bagheri Kani, à sa sortie du Palais Coburg (Vienne), où se déroulent les négociations visant à relancer l’accord sur le nucléaire iranien, le 27 décembre 2021.
Alex Halada/AFP
Presque quatre ans après la sortie des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, ce texte pourrait entrer de nouveau en vigueur dans les tout prochains jours.
Tsai Ing-wen, la présidente taïwanaise, durant une cérémonie tenue le 18 novembre 2021 à l’occasion de la mise en service d’une version améliorée du F-16 américain à la base militaire de Chiayi, dans le sud de l’île.
Sam Yeh/AFP
Joe Biden n’a pas encore réussi à faire voter tous ses grands plans d’investissement, les blocages venant notamment de son propre camp. Un problème urgent : les élections de mi-mandat se rapprochent.
Trump/Biden, même combat ? C’est ce que pourraient penser la France et les autres alliés de l’Amérique…
Jim Watson, Angela Weiss/AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le retrait d’Afghanistan et le pacte AUKUS incitent la France et les autres alliés des États-Unis à se demander si la politique étrangère de Joe Biden est vraiment différente de celle de Donald Trump.
Depuis son élection, Joe Biden, photographié ici dans le Bureau ovale le 2 février 2021, doit faire face à un parti républicain combatif, qui compte bien gagner les élections de mi-mandat en novembre 2022 et, pour cela, attise volontiers la défiance de ses électeurs à l’égard de l’administration démocrate.
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Joe Biden a mis en branle un ambitieux plan de relance qui vise à remettre l’économie sur les rails. La tâche consistant à réconcilier ses concitoyens sera peut-être encore plus compliquée…
Panneau routier dirigeant la circulation vers l’entrée de l’installation d’arrivée de lu gazoduc Nord Stream 2 à Lubmin, dans le nord-est de l’Allemagne.
Odd Andersen/AFP
Sophie Marineau, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
En renonçant aux sanctions édictées contre le gazoduc Nord Stream 2, cher à la Russie et à l’Allemagne, les États-Unis ouvrent la voie à la mise en exploitation de ce projet controversé.
Joe Biden salue Bernie Sanders, sous les yeux du président de la Cour suprême John Roberts, avant une session du Congrès à Washington, le 28 avril 2021.
Andrew Harnik/AFP
Nicolas Gachon, Université Paul Valéry – Montpellier III
Avec l’ambitieuse relance économique de Joe Biden, le Parti démocrate semble revenir à ses principes d’avant le tournant vers le centre droit enclenché sous Bill Clinton il y a trente ans.
Lors de leur rencontre à Genève ce 16 juin, Joe Biden a fourni à Vladimir Poutine une liste de seize secteurs contre lesquels toute cyberattaque devrait être interdite à l’avenir.
Brendan Smialowski/AFP
Sophie Marineau, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
La Russie est souvent accusée d’être derrière les cyberattaques visant des entreprises et des infrastructures américaines. Ce sujet a été l’un des grands thèmes de la récente rencontre Biden-Poutine.
Washington engage une somme équivalente à 13 % du PIB du pays pour relancer l’économie américaine.
Nicholas Kamm / AFP
Laurent Ferrara, SKEMA Business School y Daniele Siena, Università Cattolica del Sacro Cuore - Catholic University of Milan
Importations, endettement, rebond du dollar… Le « moment keynésien » dans lequel s’engagent les États-Unis du président Joe Biden ne restera pas sans effet au-delà des frontières du pays.
Kamala Harris prend la parole après avoir visité un site de vaccination contre la Covid-19 au M&T Bank Stadium de Baltimore, dans le Maryland, le 29 avril 2021.
Saul Loeb/AFP
Le rôle central que Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis depuis cent jours, joue dans l’administration Biden montre que sa nomination ne se limite absolument pas à sa dimension symbolique.
Sit-in au Capitole de la Géorgie, à Atlanta, le 8 mars 2021.
Megan Varner/Getty Images North America / Getty Images via AFP
Une loi électorale controversée vient d’être adoptée en Géorgie. Les débats qui l’entourent reflètent le combat acharné que se livrent les deux grands partis pour peser sur les procédures de vote.
Joe Biden à la Maison-Blanche le 8 avril 2021.
Brendan Smialowski/AFP
En cent jours à la Maison-Blanche, Joe Biden a déjà adopté de très nombreux décrets et imprimé sa marque à la politique américaine.
Réunion virtuelle entre le président américain Joe Biden et les premiers ministres australien Scott Morrison, japonais Yoshihide Suga et indien Narendra Modi, le 12 mars 2021.
Kiyoshi Ota/AFP
Le Dialogue de sécurité quadrilatéral (Quad), qui regroupe le Japon, les États-Unis, l’Australie et l’Inde, prend de plus en plus d’ampleur dans le cadre de la rivalité américano-chinoise.