La catastrophe écologique survenue dans l’Arctique russe s’explique par les négligences humaines plus encore que par le changement climatique. D’autres tragédies similaires sont à craindre.
Les morues polaires sont des proies essentielles pour les phoques, les baleines et les oiseaux de mer. Que se passe-t-il lorsque le bruit des navires les chasse ?
Le prochain budget fédéral sera déterminant pour le Nord canadien. Le gouvernement mettra-t-il l'argent nécessaire pour réaliser ses nombreuses priorités en Arctique?
De nouvelles recherches montrent que les CFC et d'autres substances appauvrissant la couche d'ozone ont renforcé les effets du changement climatique dans l'Arctique.
L’Arctique doit être pensé comme un objet géopolitique ou, plus précisément, étant donné les contingences spécifiques liées à son climat, « cryogéopolitique ».
Jean-Daniel Paris, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Il n’y a pas de bombe à retardement dans l’Arctique. Le dégel progressif du permafrost y sera une des principales sources de méthane. L’exploitation du pétrole et du gaz y contribue également.
Les niveaux de microplastiques dans l'océan augmentent. Il nous faut comprendre comment ils affectent les qualités et les propriétés de la glace de mer, et quel pourrait en être l'impact potentiel.
L'Arctique est particulièrement sensible aux changements climatiques, et la façon dont il réagit est complexe et a un impact important sur le reste du globe.
D’ici à 2100, en été, le nombre de jours de dégel va fortement augmenter en haute altitude. Ce qui est aujourd’hui une exception pourrait se produire un jour sur trois.
Non seulement la glace du pôle Nord peut se casser, mais elle peut aussi fondre. Et cela met en danger les ours polaires, les phoques, les manchots, mais aussi les êtres humains !
Christophe Barbraud, Centre national de la recherche scientifique (CNRS); Christophe Sauser, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) y Karine Delord, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
En Antarctique, cet oiseau marin est le témoin privilégié des changements climatiques qui affectent durablement son espèce.
De par le monde, la croisière attire de nombreux touristes. Pour les plus privilégiés, qui souhaitent se distinguer, le pôle Nord devient un lieu de choix… d’autant plus que la banquise fond.
La fonte des glaces, conséquence du réchauffement climatique, permet une intensification de la navigation polaire. Mais celle-ci est particulièrement risquée, pour les hommes et pour l’environnement.
Dans l’Arctique, le passage le long des côtes russes offre un raccourci intéressant pour le transport maritime. Mais la glace et ses dangers pour la navigation limitent son développement.
Ou comment un film de science-fiction anxiogène s’inspire des mégavirus présents dans le pergélisol arctique et l’éclaire des épidémies de peste qui ont ravagé l’Europe par le passé.
Professeur de droit. Ancien membre de l'Institut universitaire de France (Chaire anthropologie juridique), professeur émérite, Aix-Marseille Université (AMU)