Selon une étude, la faible prise en compte des attentes nées de la crise sanitaire, parfois perçue comme du mépris, a conduit à un repli sur soi dans l’entreprise.
Les leviers de motivation pour postuler à un emploi ont évolué, avec notamment une plus grande attention portée à l’intérêt de la mission et à l’équilibre vie privée-vie professionnelle.
Une étude menée en Belgique met en évidence un niveau optimal d’ancienneté au-delà duquel les liens entre longévité au sein d’une organisation et efficacité se desserrent.
Plusieurs études montrent que le lien entre une collaboration efficace et le travail en présentiel, qui favorise les échanges informels, n’est pas aussi fort que les ressources humaines ne le pensent.
Lorsque le superviseur et le subordonné partagent un même attachement à une organisation moins hiérarchisée, les réticences à formuler de nouvelles idées s’amenuisent.
Une organisation du télétravail co-construite avec les salariés permet de concilier bien-être et productivité. Cependant, des managers témoignent de certaines entraves à ce type de projet.
Benoît Demil, Université de Lille - initiative d'excellence y Geoffrey Leuridan, IMT Atlantique – Institut Mines-Télécom
Comment une capacité de soins peut-elle se maintenir à qualité constante, dans un contexte de pression sur son organisation ? Une étude menée dans un service d’urgence esquisse une réponse.
Selon le dernier baromètre de BSB, les objectifs de parité de la loi Copé-Zimmermann ont entraîné une diversité des profils dans la gouvernance des grandes entreprises françaises.
Martin Chadoin, Université du Québec à Montréal (UQAM) y Elise Ledoux, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Le télétravail n’est pas qu’une rupture du cadre de travail classique, c’est une transformation radicale de la nature même du travail. Les entreprises devront en tenir compte pour s’adapter.
Introduire le jeu au travail peut apporter des bénéfices à l’organisation et aux salariés, à condition de ne pas corrompre son essence même : être une activité libre et volontaire.
La formalisation du travail à distance favorise le respect du droit à la déconnexion mais répond peu à l’enjeu managériale de bien fixer le curseur entre autonomie et contrôle.
Une étude menée auprès de commerciaux montre qu’une interprétation correcte des signaux de non-satisfaction des collaborateurs devient un levier clé de motivation.
Dès le début de la crise, les outils de gestion, les modes de communication et l’organisation du travail ont été réadaptés en un laps de temps très court.
Un double travail d’acquisition d’une capacité d’agir et d’acceptation de ses émotions par la méditation entraîne des décisions plus apaisées et pertinentes qui améliorent le bien-être des équipes.
Un livre récemment publié aux Éditions Maxima propose aux entreprises de mettre en place des politiques de ressources humaines mieux ciblées. Extraits.
Une étude révèle que la réponse aux exigences du gouvernement demeure la motivation principale des entreprises lorsqu’elles déploient le travail à distance.
Les différences des personnes au quotient intellectuel élevé demandent à l’employeur d’adopter des approches de long terme pour qu’elles puissent réaliser tout leur potentiel.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)