Rassemblement devant un bureau de poste pour protester contre la gestion du système postal américain par l'administration Trump, le 22 août 2020 à Los Angeles.
Rich Fury/Getty Images North America/Getty Images via AFP
L’administration Trump souhaite réformer en profondeur le service postal américain. Or ce service gère le vote par correspondance, lequel pourrait jouer un rôle clé dans la prochaine présidentielle.
Des membres de la Coalition for Humane Immigrant Rights (CHIRLA), le plus grand groupe de défense des droits des immigrés en Californie, brandissent des pancartes portant la mention « Menteur », en anglais et en espagnol, lors du discours du président Trump sur l'état de l'Union, le 5 février 2019, à Los Angeles, en Californie.
Mario Tama/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump, on le sait, a un rapport particulier à la vérité, son administration ayant notamment forgé le concept éloquent de « faits alternatifs ». On le constate encore dans la campagne actuelle.
Donald Trump devant le mont Rushmore à Keystone, Dakota du Sud, le 3 juillet 2020.
Saul Loeb/AFP
L’analyse du discours de Donald Trump au Mont Rushmore révèle les dessous de son recours constant à la rhétorique héroïque.
Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 est en rapide augmentation dans de nombreux États américains, y compris en Californie (ici la plage de Santa Monica le 2 juillet dernier).
Mario Tama/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Le pire n’est peut-être pas passé pour les États-Unis, où l’épidémie flambe à nouveau, menaçant la reprise économique. Cette actualité pèse sur le contexte de la présidentielle.
Les relations sont extrêmement tendues entre Twitter et le possesseur de l'un de ses comptes les plus suivis au monde.
Olivier Douliery/AFP
Derrière l’actuel bras de fer que se livrent Donald Trump et Twitter, on assiste à un combat qui oppose le président américain à l’ensemble des entreprises de l’Internet de la Silicon Valley.
Pendant une manifestation à Denver, Colorado, le 31 mai 2020.
Jason Connolly/AFP
Si la mort de George Floyd a suscité une réaction aussi vive aux États-Unis, c’est parce qu’elle s’inscrit dans un contexte délétère largement alimenté par le président et ses soutiens.
Candidat pour la troisième fois à la Maison Blanche et vice-président de Barack Obama, Joe Biden doit maintenant relever un grand défi : choisir le bon colistier et vaincre Donald Trump en novembre.
Des travailleurs du Hill Hospital de New York prennent la pose le 15 mai 2020. La crise a mis sur le devant de la scène un secteur de la santé en grande difficulté.
Cindy Ord/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Aux États-Unis, la pandémie a remis au goût du jour des concepts comme l’État-providence et la couverture médicale universelle.
Aux États-Unis, la plupart des nouveaux accros à l'héroïne sont d'abord devenus addicts à des analgésiques opioïdes délivrés sur ordonnance avant de passer à l'héroïne, qui est plus forte et moins chère.
John Moore/Getty Images North America/Getty Images Via AFP
Michel Gandilhon, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Aux États-Unis, les autorités sanitaires luttent contre deux épidémies, le Covid-19 et la crise des opioïdes. Avec le confinement, les cas d’overdoses d’opioïdes auraient nettement augmenté.
Un bureau de vote à Kenosha, dans le Wisconsin, le 7 avril 2020.
Derek R. Henkle/AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les Républicains utilisent tous les moyens à leur disposition pour réduire autant que possible la participation des électeurs démocrates à la prochaine présidentielle.
Donald Trump pendant une rencontre avec des patients ayant guéri du coronavirus à la Maison Blanche, le 14 avril 2020.
Pool/Getty Images North America / Getty Images via AFP
Les États-Unis sont déjà le pays du monde où le nombre de victimes du Covid-19 est le plus élevé. À la crise sanitaire s’ajoute une crise économique aux conséquences encore difficiles à imaginer…
Un sympathisant démocrate vote lors des primaires à Renton (État de Washington), le 10 mars 2020.
Jason Redmond/AFP
Elisa Chelle, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Primaires démocrates reportées, dépenses sans précédent du centre fédéral… la crise du Covid-19 a un effet majeur sur la campagne présidentielle américaine et, au-delà, sur toute la vie du pays.
Bernie Sanders et Joe Biden lors du débat démocrate de Charleston (Caroline du Sud), le 25 février 2020.
Win McNamee/Getty Images North America/AFP
L’adversaire démocrate de Donald Trump en novembre prochain sera soit Joe Biden, soit Bernie Sanders. Quel que soit le vainqueur de cet affrontement, il y laissera des plumes…
Elizabeth Warren, Bernie Sanders et Joe Biden lors du dixième débat primaire démocrate à Charleston, en Caroline du Sud, le 25 février 2020.
Jim Watson/AFP
Elizabeth Warren vient de se retirer de la course présidentielle américaine. Malgré cet échec, son discours et ses idéaux continueront, d’une façon ou d’une autre, d’imprégner la campagne.
Pendant un discours du candidat à l'investiture démocrate Pete Buttigieg le 31 janvier 2020 à Council Bluffs, Iowa.
Win McNamee/Getty Images North America/Afp
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le caucus de l’Iowa lance des primaires démocrates qui promettent d’être particulièrement disputées cette année. Depuis 2000, la vainqueur de ce caucus a toujours obtenu l’investiture du parti…
Le président américain Donald Trump pendant un meeting de campagne à Milwaukee, 14 janvier 2020.
Saul Loeb/AFP
Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
Certains moteurs traditionnels de la croissance comme l’investissement en capital ou encore les exportations participent aujourd'hui négativement à la croissance.
Christopher Sciacca / Shutterstock
À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, les leviers qui stimulent la croissance actuelle semblent atteindre leurs limites. Une récession devrait toutefois être évitée.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Enseignant au Moravian College de Pennsylvanie, doctorant au Laboratoire Interdisciplinaire De Droit et Mutations Sociales, Aix-Marseille Université (AMU)
Professor in U.S. Politics and U.S. Foreign Relations at the United States Studies Centre and in the Discipline of Government and International Relations, University of Sydney