Par ses conséquences désormais visibles, le climat est devenu un enjeu incontournable pour les États, qui pourrait transformer en profondeur la géopolitique.
Les mèmes Internet, ces contenus au ton humoristique qui se diffusent massivement sur le Web, représentent une source précieuse pour comprendre comment le réchauffement touche la jeunesse.
Réchauffement planétaire et humidité vont de pair. De quoi contrer notre meilleure défense, la transpiration, et nous faire entrer dans une période physiologiquement inédite… et dangereuse.
Cet épisode est dédié au « solutionnisme technologique », des termes au cœur d’un débat sociétal majeur : face à la crise climatique, qu’attendons-nous de l’innovation technologique ?
Le Canada ne cessera pas l’exploitation de son pétrole du jour au lendemain. Les métiers spécialisés seront essentiels pour mettre fin à l’industrie et créer de nouveaux emplois.
Des pays comme le Canada se sont déjà appropriés les émissions de carbone dont ils disposaient et empêchent certains pays de pouvoir disposer des leurs, car le budget mondial restant est inextensible.
Cette tension sur les prix agricoles intervient dans un contexte déjà fragilisé par la pandémie. Portée par les dérèglements climatiques, elle souligne la nécessité de développer l’agroécologie.
Les prévisions relatives au changement climatique prennent souvent l’année 2100 comme point final. Mais il est important d’envisager ce qui se passera au-delà, au moins jusqu’à l’an 2500.
« Effondrement », le mot effraye et provoque. Il est devenu central dans la pensée écologique. Cet épisode nous raconte son histoire, ses fondements scientifiques mais aussi les pratiques qui en découlent.
L'objectif de neutralité carbone change tout. Le Canada ne peut plus se limiter à des solutions qui réduisent partiellement les émissions ici et là. La solution choisie doit être zéro émission.
Les politiques de protection de la biodiversité et de la qualité de l’eau fixent des règles générales qui ne tiennent pas compte de l’effort très variable qu’elles demandent aux citoyens.
Clé dans la transformation des entreprises en faveur du changement climatique, la transparence financière a progressé, mais inégalement et de manière insuffisante.
Les critères sociaux et environnementaux sont toujours soumis aux impératifs de non-distorsion de la concurrence et de « bonne gestion » des deniers publics.
Le dernier rapport du GIEC est la plus importante contribution scientifique sur le climat. C’est elle qui sera prise en compte lors du prochain grand sommet réunissant les dirigeants du monde entier.
Le dernier rapport sur la science du climat aidera les décideurs politiques à agir sur les plans de réduction des émissions ou d’adaptation au changement climatique.
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Professor at Vancouver Island University & Postdoctoral fellow, Centre d’études en gouvernance et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité mondiale, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa