Si l’emballage permet de réduire les pertes, il génère aussi des impacts environnementaux et peut générer un gaspillage supplémentaire.
Un employé aide des élèves pendant qu’ils déjeunent à la cantine scolaire de l’école Johannes Masset à Lyon, le 28 mai 2021, où la mairie EELV s’est fixé comme objectif en 2020 de servir une alimentation 100 % biologique aux élèves dans les cantines scolaires.
Jean-Philippe Ksiazek / AFP
Une enquête conduite auprès de 29 restaurants collectifs met à jour quatre leviers à mobiliser pour rendre la cantine plus appétissante, plus saine et plus respectueuse de l’environnement.
Des étudiants font la queue pour recevoir des aliments lors d'une distribution du Secours Populaire à Strasbourg, le 12 décembre 2020.
Frédérick Florin / AFP
La pandémie a révélé la fragilité de nos systèmes alimentaires et l’urgence de les penser plus courts, plus durables et mieux régulés, tout en revalorisant le travail de ceux qui nous nourrissent.
Le confinement a eu des effets hétéroclites sur les comportements alimentaires et les pratiques d’achat.
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Le confinement a transformé notre consommation, notamment alimentaire, de façon plus ou moins vertueuse. Tout l’enjeu est désormais de pérenniser les bonnes habitudes et de rejeter les mauvaises.
En 2018, sur un marché francilien.
Ludovic Marin/AFP
Face aux crises sanitaire et environnementale, une évolution en profondeur des modèles mondialisés et financiarisés de la production alimentaire s’impose.
Le confinement, une occasion pour mieux organiser la gestion de ses réserves.
Jasmin Sessler/Unsplash
On parle souvent des bienfaits des fruits et légumes moches pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Mais ils ouvrent aussi nos esprits à la différence…
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
Le premier ministre Justin Trudeau annonce l'intention de son gouvernement d'interdire les plastiques à usage unique dès 2021, lors d'une conférence de presse à Mont-Saint-Hilaire, le 10 juin.
La Presse Canadienne/Paul Chiasson
Le gaspillage de nourriture peut s'avérer plus dommageable pour l'environnement que l'utilisation du plastique.
La loi Egalim votée en octobre 2018 encourage l’industrie agroalimentaire à valoriser ses pertes alimentaires par le don, notamment aux associations.
Anne-Christine Poujoulat / AFP
Pierre Galio, Ademe (Agence de la transition écologique)
Lutter contre le gaspillage alimentaire implique pour les entreprises agroalimentaires de transformer certains processus de fabrication et de travailler à la valorisation de leurs pertes.
La consommation éthique, consommation du futur ?
Peter Bond/Unsplash
Dans notre société, la consommation est omniprésente. Elle a des implications individuelles et sociales importantes. Comment mieux consommer ? L’éthique propose des réponses à cette question cruciale.
La France s’est engagée à diviser par deux l’ampleur du gaspillage alimentaire d’ici à 2025.
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Le cas de la start-up Phenix montre que la lutte contre le gaspillage alimentaire nécessite un contexte réglementaire incitatif et des logiques d’innovation à l’échelle de l’écosystème d’affaires.
Dans les ordures non triées, on trouve 17 % d’emballages recyclables.
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Payer pour la gestion de ses déchets en fonction de la quantité de déchets que l’on produit, c’est le principe de la tarification incitative, un dispositif en cours de déploiement en France.
Denrées comestibles découvertes dans une benne à ordures.
Taz/flickr
Responsables politiques, producteurs, transformateurs, distributeurs, consommateurs, associations… À tous les niveaux, des outils et des conseils pour réduire le gaspillage.
Caddie trop rempli, gaspillage à la sortie ?
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30 % de la production alimentaire mondiale seraient perdus chaque année. Pour inviter les consommateurs à y remédier, les enseignes doivent utiliser des ressorts psychologiques bien précis.
Intensifier la collecte des détritus alimentaires pour mieux valoriser les biodéchets.
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En provenance du jardin ou de la cuisine, les déchets verts et alimentaires peuvent être valorisés… à condition que le tri à la source de ces détritus soit bien mené.
Barquette biodégradable issue de sous produits des industries agro-alimentaires, dont des fibres issues du broyage de pailles de blé.
Émile Guilbert/Montpellier
Les emballages plastiques sont régulièrement mis en cause pour leurs impacts néfastes sur la santé et l’environnement. Des innovations plus respectueuses offrent cependant de réelles alternatives.
Après le lait, bientôt des pizzas équitables.
lamarqueduconsommateur.com
Daniel Goujon, Université Jean Monnet, Saint-Étienne et Éric Dacheux, Université Clermont Auvergne (UCA)
Même dans une société dominée par les arbitrages financiers, les citoyens peuvent avoir une influence sur l’économie. La preuve avec le succès de la marque « C’est qui le patron ?! ».
Une affiche de la campagne gouvernementale de 2013.
DR
Marie Mourad, Sciences Po et Armèle Cloteau, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Pour sensibiliser les consommateurs, institutions, associations et industriels alignent les chiffres du gâchis alimentaire sans pour autant que la question des enjeux de ce phénomène soit traitée.
Des formes qui défient les standards.
L'imaGiraphe/flickr
La grande distribution propose ponctuellement des légumes dont l’aspect ne répond pas aux critères esthétiques en vigueur pour lutter contre le gaspillage alimentaire.
Professor - Strategy, Organizations & Society - Scientific Co-Director of the Deloitte Chair "Circular Economy & Sutainable Business Models", ESCP Business School
Professor of Supply Chain Management and scientific co-director of the Deloitte Chair "Circular Economy & Sutainable Business Models", ESCP Business School