Une étude menée en Alsace montre que le changement climatique a des effets sur la quantité et la qualité de malt et de houblon, le brassage et les attentes des consommateurs.
Vous détestez les magasins et encore plus devoir exprimer vos goûts ou mensurations à haute voix à une vendeuse : et si le métavers était la solution ?
Quelle information mettre en avant sur les emballages (et comment) pour que les consommateurs se tournent vers les produits les plus alignés avec des objectifs de développement durable ?
Beaucoup de marques multiplient les contenus éphémères pour fidéliser une audience. Or, en plus de présenter des risques psychologiques, cette pratique ne semble même pas efficace.
Beaucoup de produits avec de petits défauts esthétiques n’en sont pas moins fonctionnels. Et si les entreprises développaient un nouveau marché pour les commercialiser ?
Aurélie Barjonet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
L'exposition « La naissance des Grands magasins » donne à voir l’émergence d’une société bourgeoise du paraître que Zola a su décrire à la perfection dans son Bonheur des Dames.
Entre un client et une marque, la relation n’est pas que marchande. Des liens de confiance se nouent. Aussi, quand un incident survient, il est nécessaire de rassurer mais aussi de rétablir le lien.
Que les jeunes affichent des contradictions entre leurs valeurs environnementales et leurs comportements de consommation, ce n’est pas qu’une histoire de contrainte financière.
Fait maison, viande végétale, « shrink » et « cheapflation »… De nombreux débats sont vecteurs d’opacité quand le consommateur demande de la transparence pour avoir confiance dans les produits.
Une étude révèle que notre volonté de préserver notre autonomie dans nos choix d’achat dépasse le besoin de réduire le temps et les efforts. Sauf, curieusement, quand notre identité entre en jeu.
Avantages conférés à des exploitations qui n’en ont pas besoin, baisse ou report de consommation vers d’autres produits… des prix planchers dans l’agriculture pourraient bien s’avérer problématiques.
Le terme « viande », qui ne pourra plus être accolé à l’adjectif « végétal », n’a pas toujours désigné que des produits faits de protéines animales. Comment commercialiser ces produits dorénavant ?
Le bio est de moins en moins bien mis en valeur dans les supermarchés, et ses promesses de bienfaits pour la santé comme pour l'environnement peinent à convaincre les consommateurs.
Une étude menée aux États-Unis et dans les Émirats arabes unis confirme la perception positive des consommateurs vis-à-vis des publicités mettant en scène des minorités.
La sobriété appliquée à l'industrie textile, c'est aussi refuser les achats inutiles. Dans le secteur du prêt-à-porter, des alternatives existent et s'appuient sur les principes de l'économie circulaire.
Contrairement à ce à quoi l’on pourrait s’attendre, en lançant des produits végans, les marques de luxe répondraient davantage aux attentes de sa clientèle non-végans.
Un travail de recherche montre qu’un consommateur peut renoncer à un achat dans un point de vente qu’il perçoit comme trop fréquenté. Aux boutiques alors de s’adapter.
Les marketeurs de la filière cacao en Équateur tentent de vendre leur produit avec tout un lexique technique proche de celui du vin, quand le consommateur lui préfère en parler avec émotion.