Cette semaine, nos experts détaillent notamment les raisons de rester optimiste quant à la découverte prochaine d’un vaccin et donnent quelques conseils pour lutter contre la fatigue de l’enfermement.
Les réseaux de jardins collaboratifs permettent aux enseignants, aux jeunes, aux partenaires communautaires et aux universités de faire l’apprentissage d’une transformation durable.
La crise économique provoquée par la crise sanitaire fait craindre des régressions dans la lutte contre le changement climatique. Un principe juridique existe : la non-régression environnementale.
Sougueh Cheik, Institut de recherche pour le développement (IRD)
En Afrique de l’Est, les criquets pèlerins ravagent depuis des mois les récoltes de maïs et de sorgho épargnées par la sécheresse. Une menace qui pèse sur la sécurité alimentaire de la région.
Si déconfinement rime avec distanciation, comment faire pour se déplacer de manière efficace et sécuritaire à Montréal pendant des mois, voire des années ? La ville a plusieurs atouts pour y arriver.
Nicolas Dubos, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Il semble que certains animaux voient leur taille diminuer dans les zones où la température augmente. Stratégie d’adaptation ou conséquence du changement climatique ?
Rodolphe Gozlan, Institut de recherche pour le développement (IRD) dan Marine Combe, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Une étude récente souligne les effets du réchauffement climatique sur l’antibiorésistance dans les fermes aquacoles. Une situation qui constitue une menace pour la sécurité alimentaire mondiale.
Miser sur l’identité artisanale et le développement durable apparaissent comme les pistes à privilégier pour sauver la Sérénissime, actuellement désertée par les visiteurs.
La crise sanitaire met en lumière le cycle vicieux entre croissance mondialisée, changement climatique et épidémie, et invite à repenser un nouveau paradigme économique.
La réponse politique à la COVID-19 a été spectaculaire, contrairement à la réponse au changement climatique. Cela démontre qu'il y a de l'espoir pour une action réelle pour l'environnement.
Les textes comme celui de l’accord de Paris ou de l’ONU restreignent les capacités à mener des politiques ambitieuses. Des pistes peuvent inciter les pays à se mettre d’accord pour aller plus loin.
Le modèle des stations uniquement fondées sur le ski n’est plus tenable, et les incite à diversifier leurs propositions pour qu’émergent d’autres formes de tourisme dans les régions de montagne.
Les réticences des baby-boomers face à l’urgence climatique pourraient être levées par des actions de sensibilisation davantage centrées sur ce qu’ils laisseront à leurs propres descendants.
Établir un prix mondial du carbone, soutenir le pouvoir d’achat, réduire les inégalités et relancer l’investissement public constituent les mesures les plus urgentes à mettre en place.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)