Les forces israéliennes tirent des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants palestiniens qui protestent contre l’expropriation de terres palestiniennes à l’entrée nord de la ville de Ramallah, en Cisjordanie, le 26 janvier 2023.
Ahmad Gharabli/AFP
En l’absence d’espoir politique et de perspective de paix, et privée de soutien international, la jeunesse palestinienne risque de renouer avec la lutte armée.
Manifestations à Tel-Aviv le 21 janvier 2023 contre le projet de réforme de la justice avancé par le nouveau gouvernement Nétanyahou.
Avi Rozen/shutterstock
La droite au pouvoir en Israël s’attaque avec virulence à la Cour suprême du pays, qu’elle juge politisée et anti-démocratique. Des accusations très largement infondées.
Naftali Bennett (à droite) vient de devenir premier ministre, succédant à Benyamin Nétanyahou, qui avait exercé cette fonction pendant les douze dernières années. Dans un an, il sera remplacé par son allié de coalition, Yaïr Lapid.
Gil Cohen-Magen/AFP
Le nouveau premier ministre israélien, Naftali Bennett va devoir composer avec la situation complexe que leur a léguée Benyamin Nétanyahou, qui vient de quitter le pouvoir.
Un jeune Palestinien lance des pierres en direction des forces de sécurité israéliennes, lors d'affrontements à Hébron, en Cisjordanie, le 14 mai 2021.
Hazem Bader/AFP
Le report des élections législatives palestiniennes, qui étaient prévues pour le 22 mai prochain, a joué un rôle non négligeable dans la détérioration de la situation.
Benyamin Netanyahou (que l'on voit ici avec Joe Biden en mars 2010 lors d'un déplacement en Israël de ce dernier en tant que vice-président) connaît le nouveau président américain depuis longtemps, mais aurait préféré que Donald Trump soit réélu.
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Donald Trump a systématiquement appuyé Benyamin Netanyahou sur tous les grands dossiers (colonisation, Golan, Jérusalem…). Joe Biden sera moins empressé, mais il n’y aura pas de rupture pour autant.
Manifestation sur la place Rabin de Tel-Aviv le 6 juin 2020 pour dénoncer le projet d'annexion par Israël de certaines parties de la Cisjordanie occupée voulu par le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, ici désigné par la formule « Crime Minister » au lieu de « Prime Minister ».
Jack Guez/AFP
Illégale au regard du droit international, l’annexion d’une partie de la Cisjordanie annoncée par Israël pourrait, paradoxalement, profiter dans une certaine mesure aux Palestiniens.
Affiche électorale de l'alliance politique israélienne Bleu et Blanc représentant, à gauche, son chef, le général d'armée à la retraite Benny Gantz, et à droite le premier ministre Benyamin Netanyahou.
Jack Guez/AFP
Après trois législatives en moins d’un an, Israël semblait s’acheminer vers un quatrième scrutin anticipé, mais Benyamin Nétanyahou et son rival Benny Gantz ont fini par trouver une solution.
Une petite fille arabe israélienne glisse dans l'urne le bulletin de sa mère lors des élections législatives israéliennes du 2 mars 2020 dans la ville bédouine de Rahat (sud d'Israël).
Hazem Bader/AFP
Les élections législatives qui viennent de se tenir en Israël ont vu un succès historique pour les partis arabes, réunis pour la première fois au sein d’une liste unique.
Des Palestiniens regardent la conférence de presse télévisée du président américain Donald Trump et du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu le 28 janvier 2020, au camp de réfugiés de Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza.
Sais Khatib/AFP
Le plan de règlement du conflit israélo-palestinien proposé par Donald Trump ne tient aucun compte du droit international et s’aligne totalement sur les positions du gouvernement Nétanyahou.
Des spécialistes de la communication agressive à l'emprise médiatique, Netanyahou emboite le pas à son ami Donald Trump. Jérusalem, 16 septembre 2019.
Ahmad Gharabli/AFP
Netanyaou a plus que jamais imposé un langage violent, agressif, cultivant le mensonge avec une parfaite désinvolture. Trump ? Oui, mais en plus méthodique.
Dans la ville de Beersheva, des bannières électorales font la promotion du Likoud et de Netanyahou, en russe et en hébreu, au 15 septembre 2019.
HAZEM BADER / AFP
Les immigrés et descendants d’immigrés résidents des villes périphériques parmi les plus pauvres de l’état sont les principaux supporters de la droite dure, et de Nétanyahou en particulier.
Foxtrot, de Samuel Maoz (2017), illustre le désemparement des troupes israéliennes devenues ‘troupes de sécurité’ vivant dans des huis clos angoissants.
Sophie Dulac Productions
Deux œuvres cinématographiques participent à la redéfinition de la représentation des forces armées en Israël, et à la mise en lumière des paradoxes politiques du pays.
Une caricature de Donald Trump et de la reine Elizabeth d'Angleterre, signé Dave Brown, dans le quotidien The Independent (juin 2019).
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Le dessin de presse se joue dans un rapport triangulaire entre un dessinateur qui raconte, une cible objet de sa mise en dessein, un lecteur qui interprète et juge.
Benyamin Netanyahou, le 29 mai 2019, à la Knesset, après la décision de dissoudre l'Assemblée.
Menahem Kahana / AFP
Ce coup de théâtre est d’abord la conséquence d’un système de représentation proportionnelle quasi intégrale qui donne aux petits partis un pouvoir de blocage exorbitant.
Benny Gantz, le 1er avril 2019, à Tel Aviv.
Jack Guez/AFP
La campagne du candidat Gantz semble ainsi s’inscrire à la droite de Benyamin Nétanyahou, n’hésitant pas à mettre en avant les morts palestiniens comme preuve de la détermination de l’ancien général.
A Rio, le 28 octobre 2018, un partisan du nouveau président Jair Bolsonaro brandit un cercueil symbolique du Parti des Travailleurs.
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Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La gauche est en perdition, si l’on en juge par les scores électoraux. Le phénomène est mondial, mais cela ne veut pas dire qu’il revête partout le même sens, ou les mêmes formes.
Le chancelier Kurz (à droite) et son vice-chancelier Heinz-Christian Strache, dirigeant du FPÖ (extrême droite).
Joe Klamar / AFP
Sebastian Kurz, qui appartient à une génération héritière du devoir de mémoire, veut en finir avec le sombre passé de son pays en nouant de véritables liens d’amitié avec Israël.
En tête de la « marche blanche » du 28 mars 2018, à Paris.
François Guillot/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La marche du 28 mars aurait pu être un superbe rassemblement, elle a été gâchée par ceux qui voudraient affirmer la consubstantialité nécessaire des juifs de France avec la politique israélienne.
Manifestation anti-Trump à Jérusalem-Est, le 11 décembre.
Ahmad Gharabli/AFP
Avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, Donald Trump persiste dans les décisions polémiques, en dépit des réticences d’une partie de son administration.
Dans un café à Jérusalem, le 6 décembre.
Ahmad Gharabli/AFP
Doctorante associée à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire en science politique et relations internationales (CMH EA 4232-UCA), Université Clermont Auvergne (UCA)