Cette culture gourmande en eau, à l'empreinte carbone élevée est devenue victime de son succès, qui provoque localement de la déforestation et une augmentation des pesticides.
Au-delà de la durabilité des Jeux de Paris, il faut aussi examiner celle des fédérations sportives qui y participent. C’est ce qu’a entrepris une équipe internationale de chercheurs.
Les Jeux olympiques de Paris 2024 doivent diviser leur bilan carbone par deux par rapport aux éditions de Londres ou de Rio. Ces promesses seront-elles tenues ? Déjà, des difficultés se posent.
À côté de leur efficacité et de leur coût, on peut aussi évaluer l’impact environnemental des soins. Des chercheurs en font la démonstration en prenant pour exemple les traitements de la dépression.
Les compétitions sportives de plein air, même lorsqu’elles s’adressent aux sportifs amateurs, impactent l’environnement. Mais des modèles alternatifs plus écologiques émergent.
« Ce qui ne se mesure pas, ne s’améliore pas », un adage qui se vérifie à l’occasion des négociations climatiques des COP, mais qui a aussi des limites s'agissant de la RSE des entreprises.
Si rien n’est fait pour changer nos habitudes de voyage, le temps de l’industrie du tourisme pourrait être compté. Des « passeports carbone » pourraient-ils faire partie de la solution ?
La promesse des retours gratuits du géant Amazon a un coût financier et environnemental colossal. Par souci d’économie, un nombre croissant de colis renvoyés finissent à la décharge.
Les progrès récents dans la manière dont les organisations mesurent les performances en matière de durabilité pourraient conduire à une approche véritablement authentique de la durabilité.
Des tactiques politiques intentionnelles sont mises en place dans le but de ralentir ou de bloquer l’action concrète pour contrer les changements climatiques et abandonner des produits pétroliers.
Comment peut-on nourrir de manière nutritive une population croissante, faire face au changement climatique et ne pas détruire les écosystèmes dont nous dépendons tous pour vivre ?
Fabrice Flipo, Institut Mines-Télécom Business School
La dernière étude de l’Arcep sur l’empreinte écologique du numérique confirme des tendances à la hausse, notamment en matière de gaz à effet de serre. Comment arbitrera-t-elle ?
Des études menées dans les écolieux du réseau Oasis ont mesuré le bilan des émissions de gaz à effet de serre et la qualité de vie de ceux qui ont choisi un mode de vie plus sobre.
L’empreinte carbone du mode de préparation est fortement influencée par la quantité de café utilisée et l’intensité carbone de l’électricité nécessaire au fonctionnement des appareils électriques.
Les activités numériques, comme l’envoi de courriels, contribuent de façon marginale à l’empreinte carbone annuelle des utilisateurs des technologies de l’information et de la communication.
L’empreinte carbone associée à l’utilisation des services numériques est dominée par la fabrication des appareils électroniques. À l’approche de Noël, une prise de conscience s’impose.
Full Professor, System Engineering Department & General Director, CIRODD: Interdisciplinary Research Centre on the Opérationnalisation of Sustainability Development, École de technologie supérieure (ÉTS)