Olga Bronnikova, Université Grenoble Alpes (UGA) and Françoise Daucé, École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Certains médias interdits en Russie cherchent à échapper à la censure et expliquent à leurs lecteurs comment continuer de les lire. Des recommandations qui peuvent aussi se révéler utiles ailleurs…
Le compte Twitter d'Elon Musk, qui a acquis la plateforme le 25 mai 2022 pour 44 milliards de dollars américains.
Olivier Douliery/AFP
Twitter, plus que tout autre réseau social, permet de suivre et de commenter les événements en temps réel. L'acquisition de la plate-forme par Elon Musk pourrait radicalement changer la donne.
Sans les services proposés par les géants du numérique, le confinement n’aurait sans doute pas été possible aussi longtemps.
Justin Tallis / AFP
La montée en puissance des plates-formes, qui s’est accélérée depuis le printemps 2020, complexifie la réponse envisagée par les États en matière de régulation.
Dès les premiers mois de la crise sanitaire, on a pu voir se déployer des dispositifs inédits de surveillance sanitaire à grande échelle, comme ces caméras thermiques à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle, en démonstration lors d'une visite de Jean Castex le 24 juillet 2020.
Christophe Petit Tesson/AFP
Une transformation profonde s’est jouée ces derniers mois : l’avènement de nouvelles formes numériques de contrôle et de surveillance, et leur extension au biologique.
Devrons-nous recourir systématiquement à la technologie pour vaincre la crise sanitaire? Ici à Paris, terrasse d'un café ,le 23 mars où sont attablés les ‘ours en peluche’ de Philippe Labourel.
Anne-Christine POUJOULAT / AFP
Le passeport sanitaire va-t-il devenir une réalité ? Après des mois de débats parfois houleux et de controverses, le recours à des outils technologiques risque de bouleverser notre droit.
L'instauration du « Conseil de surveillance » vise à doter Facebook d'un organe de supervision indépendant.
Cryptographer/Shutterstock
Facebook a mis en place un « Conseil de surveillance » censé veiller aux droits de ses utilisateurs. Peu de temps après sa création, cette instance doit trancher une question des plus sensibles.
Le 7 décembre 2020, la CNIL a infligé des sanctions de 100 millions d’euros à Google et de 35 millions d’euros à Amazon.
Lionel Bonaventure / AFP
L’autorité administrative française a estimé en décembre dernier que la politique de collecte de données sur l’usager des géants américains restait trop opaque.
Les réseaux sociaux ont-ils commis un acte de censure en fermant les comptes du président des États-Unis en exercice ?
Justin Sullivan/Getty Images North America/ Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les spots politiques, qui inondent le Web américain, sont souvent emplis de mensonges. Il est pourtant difficile, voire impossible, de les faire retirer. Or leurs effets sont majeurs.
Des membres de la Coalition for Humane Immigrant Rights (CHIRLA), le plus grand groupe de défense des droits des immigrés en Californie, brandissent des pancartes portant la mention « Menteur », en anglais et en espagnol, lors du discours du président Trump sur l'état de l'Union, le 5 février 2019, à Los Angeles, en Californie.
Mario Tama/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump, on le sait, a un rapport particulier à la vérité, son administration ayant notamment forgé le concept éloquent de « faits alternatifs ». On le constate encore dans la campagne actuelle.
Les relations sont extrêmement tendues entre Twitter et le possesseur de l'un de ses comptes les plus suivis au monde.
Olivier Douliery/AFP
Derrière l’actuel bras de fer que se livrent Donald Trump et Twitter, on assiste à un combat qui oppose le président américain à l’ensemble des entreprises de l’Internet de la Silicon Valley.
Les outils de traçage des contacts nécessitent un taux d’adoption élevé pour fonctionner efficacement.
Thomas Samson / AFP
Une analyse des réactions des internautes indique l’existence de barrières d’ordre politique, fonctionnel et éthique quant à l’utilisation de cet outil de traçage.
Un logo indiquant Covid tracker est représenté dans un centre d'appels dédié au traçage des contacts, où des appels téléphoniques sont effectués pour cartographier le nombre de personnes à Bruxelles qui ont contracté le Covid-19, le 8 mai 2020 à Bruxelles.
Laurie Dieffembacq/Belga/AFP
Coup de projecteur sur Health Data Hub, un projet national français fondé sur le recours à l’intelligence artificielle… et à certains géants mondiaux du numérique, ce qui pose divers problèmes.
Le ministre de la Santé Olivier Véran à l’Assemblée nationale, où a été votée la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet.
Thomas Samson / AFP
L’état d’urgence sanitaire a été prolongé début mai. Malgré les réserves des instances chargées de surveiller l’état des libertés, les garde-fous prévus par le texte de loi semblent bien insuffisants.
Vladimir Poutine préside une réunion par vidéoconférence sur la pandémie de Covid-19, à la résidence d'État de Novo-Ogaryovo, près de Moscou, le 20 avril 2020.
Alexey Druzhinin/Sputnik/AFP
Au pays de Vladimir Poutine, l’amplification de la surveillance numérique mise en œuvre dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19 suscite bien des inquiétudes.
Des passants à Paris, le 16 avril 2020.
Eric Piermont/AFP
L’application StopCovid suscite de nombreux débats qui portent aussi bien sur son efficacité que sur sa légalité et les atteintes aux libertés publiques que pourrait provoquer sa généralisation.
Face au Covid-19, de nombreuses stratégies ont été mises en œuvre dans divers pays étrangers. Dans quelle mesure sont-elles applicables en France, et quelles en sont les implications juridiques ?
Maitre de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication habilitée à diriger des recherches à l'Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), Université Bordeaux Montaigne
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School