Des bactéries résistantes à des quantités phénoménales de radiation poussent à repenser notre compréhension des mécanismes qui sous-tendent le vieillissement.
En cuisine, le clitocybe inversé, un champignon comestible de nos forêts, est médiocre. Mais son intérêt est ailleurs : capable d’agir sur l’ADN, il pourrait un jour soigner des maladies génétiques.
Une nouvelle étude démontre que le microbiote intestinal n’aurait que peu ou même pas d’effet sur notre poids, notre métabolisme et notre risque de développer des maladies chroniques.
Bien identifier un cancer est la clé pour lancer le bon traitement. Les oncologues disposent d’une nouvelle aide génétique : le « méthylome ». De quoi s’agit-il ? Décryptage d’une révolution en cours.
La récente poussée de contaminations par les variants Omicron BA.4 et BA.5 au Portugal et en Afrique du Sud inquiète en France. Déjà présents dans l'Hexagone, quel peut être leur impact ?
Jocelyn Plassais, Université de Rennes 1 - Université de Rennes and Catherine André, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Les chiens sont proches de l’espèce humaine en termes génétiques et partagent nos modes de vie. En étudiant les mutations responsables de certaines maladies, on espère mieux comprendre les humains.
Omicron s’est imposé au niveau mondial et le décryptage de ses capacités permet de l’expliquer : « sous-variants » dans le variant, recombinaison, capacités améliorées… Quel futur cela présage-t-il ?
Nicolas Foray, Inserm and Michel Bourguignon, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Il y a beaucoup d’inquiétudes autour du risque nucléaire du fait de la guerre en Ukraine. Mais quels sont vraiment les effets des radiations sur le corps ? Et comment les mesure-t-on ? Décryptage.
L’ADN mitochondrial est indispensable à l’activité de nos cellules. Étudier les processus qui garantissent son intégrité permet de mieux connaître les pathologies qui en découlent.
Samuel Alizon, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Joue-t-on à se faire peur avec les variants ? L'annonce d'une « fusion » entre Delta et Omicron en « Deltacron » a fait beaucoup parler… Retour sur les idées reçues autour de leur apparition.
Le variant Delta a dominé l’épidémie pendant des mois, jusqu’à l’émergence d’Omicron. Comment comprendre ce jeu entre variants ? Quels paramètres considérer ? Réponse en 10 points par deux experts.
Six mois pour classer Delta variant préoccupant… deux semaines pour Omicron. L’OMS a, cette fois, rapidement choisi le principe de précaution et d’avertissement pour le nouvel avatar du SARS-CoV-2.
La mucoviscidose est une des maladies génétiques les plus connues – et des plus simples à appréhender, croyait-on, car elle est liée à un gène unique. Sa découverte a bouleversé le monde scientifique…
Le variant Delta circule sur la majorité du territoire. On le sait plus transmissible que le variant alpha, qui l’était lui-même plus que le coronavirus « historique ». Que sait-on d’autre ?
Qu’est-ce que le variant Delta ? D’où vient-il ? Qu’est-ce qui fait sa différence avec les autres variants préoccupants et quel est son niveau de résistance face aux vaccins contre la Covid-19 ?
Le génome du coronavirus est constitué de 30 000 « lettres », ce qui signifie qu’il existe une quantité énorme de mutations possibles. Mais inutile de paniquer pour autant.
Benjamin Roche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Un an après le début de la pandémie, plusieurs variants du SARS-CoV-2 ont émergé, menaçant de changer le visage de la pandémie. Pourquoi maintenant ? Comment répondre à cette menace ?
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier