Des bactéries résistantes à des quantités phénoménales de radiation poussent à repenser notre compréhension des mécanismes qui sous-tendent le vieillissement.
Nous pouvons observer le processus d’évolution en laboratoire dans des conditions parfaitement contrôlées.
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Une nouvelle étude met en lumière la nature interconnectée du génome humain et ce que cela signifie pour les futures thérapies géniques.
Le clitocybe inversé (Lepista inversa) contient une molécule capable de corriger certains types de mutations.
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En cuisine, le clitocybe inversé, un champignon comestible de nos forêts, est médiocre. Mais son intérêt est ailleurs : capable d’agir sur l’ADN, il pourrait un jour soigner des maladies génétiques.
Certains facteurs peuvent perturber le microbiote intestinal. On parle notamment de notre alimentation, de notre consommation d’alcool, de la prise d’antibiotiques et des maladies inflammatoires de l’intestin.
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Une nouvelle étude démontre que le microbiote intestinal n’aurait que peu ou même pas d’effet sur notre poids, notre métabolisme et notre risque de développer des maladies chroniques.
Génome et épigénome peuvent être sujets à des altérations pouvant entraîner des cancers.
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Bien identifier un cancer est la clé pour lancer le bon traitement. Les oncologues disposent d’une nouvelle aide génétique : le « méthylome ». De quoi s’agit-il ? Décryptage d’une révolution en cours.
Old Blush est une ancienne variété cultivée en Chine et introduite au 18e siècle en Europe. Cette variété présente une floraison continue.
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La récente poussée de contaminations par les variants Omicron BA.4 et BA.5 au Portugal et en Afrique du Sud inquiète en France. Déjà présents dans l'Hexagone, quel peut être leur impact ?
Étudier les mutations génétiques chez les chiens permet aussi de mieux comprendre les maladies affectant les humains, et leur évolution.
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Jocelyn Plassais, Université de Rennes 1 - Université de Rennes and Catherine André, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Les chiens sont proches de l’espèce humaine en termes génétiques et partagent nos modes de vie. En étudiant les mutations responsables de certaines maladies, on espère mieux comprendre les humains.
Cumulant les mutations, le variant Omicron explore de nouvelles voies en termes infectieux, génétique, épidémiologique…
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Omicron s’est imposé au niveau mondial et le décryptage de ses capacités permet de l’expliquer : « sous-variants » dans le variant, recombinaison, capacités améliorées… Quel futur cela présage-t-il ?
Dose reçue, organe(s) touché(s) et sensibilité personnelle aux radiations entrent en compte pour évaluer les effets d'une irradiation.
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Nicolas Foray, Inserm and Michel Bourguignon, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Il y a beaucoup d’inquiétudes autour du risque nucléaire du fait de la guerre en Ukraine. Mais quels sont vraiment les effets des radiations sur le corps ? Et comment les mesure-t-on ? Décryptage.
Réseau mitochondrial d'une cellule humaine en division. ADN nucléaire en bleu, mitochondries en violet, nucléoides ou ADN mitochondrial en vert.
Le cadre en bas à droite montre un détail après traitement de l'image et modélisation 3D par Imaris (Oxford Instruments) qui permet de quantifier le nombre et la distance entre les nucléoides. Barre d'échelle 5 micromètres.
Charlène Lhuissier & Arnaud Chevrollier
L’ADN mitochondrial est indispensable à l’activité de nos cellules. Étudier les processus qui garantissent son intégrité permet de mieux connaître les pathologies qui en découlent.
Une personne peut être infectée par deux souches différentes de SARS-CoV-2. Les virus peuvent alors échanger des fractions de leur matériel génétique : quelles conséquences à cette « recombinaison » ?
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Samuel Alizon, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Joue-t-on à se faire peur avec les variants ? L'annonce d'une « fusion » entre Delta et Omicron en « Deltacron » a fait beaucoup parler… Retour sur les idées reçues autour de leur apparition.
Comme tout virus, le SARS-CoV-2 mute en permanence. Le séquençage permet de suivre l'évolution de ses différentes lignées de variants.
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Le variant Delta a dominé l’épidémie pendant des mois, jusqu’à l’émergence d’Omicron. Comment comprendre ce jeu entre variants ? Quels paramètres considérer ? Réponse en 10 points par deux experts.
L'Organisation mondiale de la santé n'aura mis que deux semaines pour classer Omicron comme variant préoccupant.
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Six mois pour classer Delta variant préoccupant… deux semaines pour Omicron. L’OMS a, cette fois, rapidement choisi le principe de précaution et d’avertissement pour le nouvel avatar du SARS-CoV-2.
La découverte du gène de la mucoviscidose a révolutionné la compréhension de la maladie et la prise en charge des malades.
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La mucoviscidose est une des maladies génétiques les plus connues – et des plus simples à appréhender, croyait-on, car elle est liée à un gène unique. Sa découverte a bouleversé le monde scientifique…
Des clients attendent de passer un test Covid-19 avant d'entrer dans une boîte de nuit à La Grande Motte, le 10 juillet 2021. Alors que le variant Delta, plus contagieux, se répand dans le pays, la vigilance reste plus que jamais de rigueur.
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Le variant Delta circule sur la majorité du territoire. On le sait plus transmissible que le variant alpha, qui l’était lui-même plus que le coronavirus « historique ». Que sait-on d’autre ?
L'émergence de variants préoccupants à la fin de 2020 a marqué un changement dans la pandémie de Covid-19.
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Qu’est-ce que le variant Delta ? D’où vient-il ? Qu’est-ce qui fait sa différence avec les autres variants préoccupants et quel est son niveau de résistance face aux vaccins contre la Covid-19 ?
Le génome du coronavirus est constitué de 30 000 « lettres », ce qui signifie qu’il existe une quantité énorme de mutations possibles. Mais inutile de paniquer pour autant.
Un patient s'inscrit pour un test salivaire de dépistage du coronavirus SARS-CoV-2, à Saint-Etienne, le 22 février 2021, dans le cadre de la seconde campagne de dépistage de masse de la ville.
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Benjamin Roche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Un an après le début de la pandémie, plusieurs variants du SARS-CoV-2 ont émergé, menaçant de changer le visage de la pandémie. Pourquoi maintenant ? Comment répondre à cette menace ?
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Chercheur au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec et Professeur titulaire au Département de médecine, Université Laval