Des analyses ADN ont permis de reconstituer un arbre généalogique de sept générations ayant vécu il y a 7 000 ans et de comprendre l’organisation de cette petite société.
De l'ADN provenant de diverses cellules circule dans notre sang.
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L’ADN circulant dans le sang peut être recueilli par simple prise de sang. Mieux, son analyse permet d’établir rapidement le diagnostic de plusieurs cancers et de suivre l’évolution de la maladie.
Le clitocybe inversé (Lepista inversa) contient une molécule capable de corriger certains types de mutations.
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En cuisine, le clitocybe inversé, un champignon comestible de nos forêts, est médiocre. Mais son intérêt est ailleurs : capable d’agir sur l’ADN, il pourrait un jour soigner des maladies génétiques.
De nouvelles méthodes d’analyse ADN permettent de déterminer ce que mangent les araignées — même si elles liquéfient leurs proies.
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Chez l’humain, la longueur des télomères, structures à l’extrémité de l’ADN diminue avec le temps, causant un vieillissement, alors que chez le protée, elle augmente. La clé de sa longévité ?
La recherche et la vision des scientifiques canadiens ont été fondamentaux dans le projet du génome humain. Aujourd'hui, le manque de financement menace la recherche sur les découvertes au Canada.
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Les chercheurs canadiens ont été à l’avant-plan de la recherche sur l’ADN. Cependant, le manque de financement menace leur capacité à relever les défis de l’avenir.
L’exercice physique serait-il inutile au fonctionnement cognitif ?
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Une nouvelle étude met en lumière les bénéfices cognitifs de l’activité physique alors qu’une autre semble dire le contraire, alimentant le débat scientifique sur la question. Voici ce qu’il en est.
La double hélice d'ADN est aussi devenue une icône culturelle.
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Soixante-dix ans après la découverte de la structure de l’ADN, on sait modifier les génomes humains. Zooms sur trois enjeux majeurs : héritabilité, régulation, équité dans l’accès aux soins.
L'ADN recèle des informations précises mais ne dit pas tout de nous.
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De nouvelles études génétiques prétendent pouvoir déterminer notre intelligence ou nos risques de développer des maladies, mais tout n’est pas inscrit dans notre ADN.
D'où vient ce regard perçant ?
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Le chien fait partie de nos vies depuis l’époque des chasseurs-cueilleurs et serait issu de la domestication du loup préhistorique. Oui, mais de quel loup parle-t-on ?
Un bouvier bernois est assis sur un porche d'entrée de Toronto, le 6 juillet 2019.
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La race des chiens détermine de nombreux aspects de leur personnalité. Mais les propriétaires jouent également un rôle important dans le caractère de l’animal.
Il pourrait être possible de mieux faire parler notre ADN.
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En France, les tests génétiques sont très encadrés et permettent seulement de rechercher une pathologie par test. Pourquoi ne pas réutiliser ces données pour faire avancer d’autres études ?
Analyser l’ADN environnemental facilite l’obtention d’une image de la biodiversité dans les régions très riches en espèces telles que la Guyane.
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Marine Combe, Institut de recherche pour le développement (IRD) and Rodolphe Gozlan, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Avec les progrès des analyses ADN et la baisse de leurs coûts, de nouvelles possibilités ont émergé. On sait par exemple désormais pister les êtres vivants grâce à l’ADN qu’ils laissent échapper.
Svante Pääbo a remporté le prix Nobel de médecine 2022.
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Le prix Nobel de physiologie ou de médecine pour 2022 a été attribué à Svante Pääbo, dont les découvertes ont été déterminantes pour la compréhension de notre histoire évolutive.
Une érosion sans précédent de la diversité génétique s’observe actuellement chez les espèces rares comme les espèces les plus communes.
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La diversité génétique est capitale pour la survie des écosystèmes. Des engagements internationaux sont plus que jamais nécessaires et maintenant réalisables pour optimiser sa protection.
Étudier les mutations génétiques chez les chiens permet aussi de mieux comprendre les maladies affectant les humains, et leur évolution.
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Jocelyn Plassais, Université de Rennes 1 - Université de Rennes and Catherine André, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Les chiens sont proches de l’espèce humaine en termes génétiques et partagent nos modes de vie. En étudiant les mutations responsables de certaines maladies, on espère mieux comprendre les humains.