Le secteur s’est fortement internationalisé depuis le début des années 2000, à la fois en termes de production et de vente. Ces interdépendances ont cependant fragilisé la filière.
Les déterminants des investissements directs à l'étranger dépassent largement le champ des subventions et des avantages fiscaux.
Shutterstock
Les Vingt-Sept disposent de marges de manœuvre pour renforcer leur attractivité aux yeux des investisseurs et riposter ainsi aux mesures d’incitations fiscales adoptées mi-2022 aux États-Unis.
En 2020, une invasion de criquets pèlerins a frappé l’est de l’Afrique.
AFP
Une étude souligne les effets positifs des accords internationaux à la fois en termes de protection du consommateur et d’ouverture commerciale.
Ngozi Okonjo-Iweala, directrice générale de l’OMC, a mené les négociations aboutissant en décembre 2021 à un traité plurilatéral sur le commerce des services.
Fabrice Coffrini / AFP
Des accords construits par un nombre limité de pays avec la vocation de s’élargir à tous ? Telle semble être la voie actuellement empruntée à l’OMC. Avec les risques d’exclusion qui lui sont liés.
Joe Biden et Xi Jinping, ici lors d’un sommet virtuel en novembre 2021, acteront-ils le divorce économique entre les pays qu’ils dirigent ?
Mandel Ngan / AFP
La logique économique des avantages comparatifs semblait indiscutable au moment où la Chine entrait à l’OMC. Un livre blanc récemment publié tente d’expliquer sa remise en cause.
La zone de fret de Port-Soudan (Soudan) en octobre 2021.
Ashraf Shazly/AFP
Un an après la mise en place de la Zone de libre-échange continentale africaine, quels bénéfices a-t-elle déjà apportés et à quels défis est-elle confrontée ?
Selon sa directrice générale, la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala, le sommet de fin 2021 constituerait un rendez-vous de la dernière chance pour l’institution.
Fabrice Coffrini / AFP
OMC, OCDE… Au-delà des textes européens, la France est engagée dans un certain nombre de cadres juridiques internationaux dont elle a co-produit les standards.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pendant un sommet virtuel Chine-UE le 22 juin 2020.
Yves Herman/AFP
Face à la montée en puissance de la Chine, l’Union européenne cherche à la fois à ménager ce partenaire majeur et à ne pas le laisser agir totalement à sa guise. Un équilibre difficile.
Ce projet s’intègre dans le cadre, à la fois, de sa nouvelle stratégie commerciale et du « Green Deal » (« pacte vert »), visant à faire de l’Europe, d’ici à 2050, le « premier continent neutre en carbone ».
Shutterstock
Effectivité, compatibilité avec les textes de l’OMC, calcul de l’empreinte carbone… Le dispositif voté par les eurodéputés en mars dernier laisse plusieurs questions essentielles en suspens.
Joe Biden, alors vice-président, lors d'une visite au Conseil européen à Bruxelles, le 6 février 2015.
Emmanuel Dunand/AFP
La victoire de Biden ouvre pour les Européens une fenêtre d’opportunité : ils pourraient lancer une Conférence eurasiatique sur la sécurité commerciale, qui rassemblerait l’UE, Washington et Pékin.
L'ambassadeur chinois Chen Xu donne une conférence de presse sur les prochaines élections à la tête de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, dans les bureaux des Nations unies à Genève, le 26 février 2020.
Fabrice Coffrini/AFP
Emmanuel Véron, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) and Emmanuel Lincot, Institut catholique de Paris (ICP)
La Chine avance ses pions sur l’échiquier international en occupant de plus en plus de postes de direction dans les agences onusiennes. Une ascension pourtant résistible.
L'instabilité des relations commerciales sino-américaines pèse de plus en plus sur les chaînes d'approvisionnement en matériel médical.
Brendan Smialowski / AFP
Malgré la trêve négociée avec la Chine, les États-Unis souffrent de difficultés d’approvisionnement en matériel médical. Cette situation risque d’accentuer les tensions.
Une centrale au charbon du géant allemand de l'énergie RWE à Neurath, dans l'ouest de l'Allemagne, le 29 janvier 2020.
Ina Fassbender / AFP
Les textes comme celui de l’accord de Paris ou de l’ONU restreignent les capacités à mener des politiques ambitieuses. Des pistes peuvent inciter les pays à se mettre d’accord pour aller plus loin.
Le 9 mars 2020, le personnel médical fête la sortie de tous les patients d'un hôpital temporaire mis en place pour traiter les personnes atteintes du coronavirus COVID-19 à Wuhan.
STR/AFP
Emmanuel Véron, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
L’épidémie de coronavirus affecte profondément la Chine, du point de vue social, politique et économique. Le reste de la planète va-t-il réduire son degré de dépendance envers la RPC ?
Le commissaire européen à l'Agriculture et au développement rural Phil Hogan, Emmanuel Macron, Xi Jinping et le ministre chinois du Commerce Zhong Shan posent devant des drapeaux européens et chinois à Pékin, le 6 novembre 2019.
Ludovic Marin/AFP
Emmanuel Véron, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
La visite d’Emmanuel Macron en Chine a mis en lumière toute la complexité de la relation entre Paris et Pékin. C’est peut-être à l’échelon européen que cette relation devrait s’inscrire à l’avenir.
La coopération entre acteurs divers, nouvelle réponse aux défis contemporains ?
REDPIXEL.PL / Shutterstock
À l’heure où les systèmes de coopération interétatiques s’enfoncent dans la crise, de nouvelles formes de coopération voient le jour pour répondre aux grands défis actuels.
Bientôt l’ère du protectionnisme négocié et du G2.0 ?
NothingIsEverything / Shutterstock
Le conflit commercial qui oppose Washington et Pékin pourrait finalement déboucher sur une négociation à deux des nouvelles règles du jeu économique mondial.
Le projet d'accord négocié par la première ministre Theresa May et Bruxelles a été rejeté massivement par les députés britanniques le 16 janvier dernier.
Alexandros Michailidis / Shutterstock
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.
Le prochain sommet du G20, qui se tiendra fin 2018 en Argentine, entend s'atteler à la relance des négociations multilatérales et à la réforme de l'OMC.
Alexey Struyskiy
L’enlisement du cycle de Doha et les dynamiques économiques post-crise 2008 ont considérablement affaibli l’OMC. Comment l’institution peut-elle se réformer ? Voici quelques pistes.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)