La gravité maintient l’atmosphère de la Terre, nous permettant de respirer.
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Articles on planète Terre
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Les mouvements à l’origine de la tectonique des plaques sont issus du noyau. Un tout nouveau modèle permet de mieux comprendre une dynamique extrêmement lente et complexe à appréhender.
En regardant la lune dans le ciel nocturne, on n’imaginerait jamais qu’elle s’éloigne lentement de la Terre. Mais dans les faits, elle s’éloigne actuellement de 3,8 cm de la terre chaque année.
Si la Terre s’arrêtait de tourner, les conséquences seraient très nombreuses.
Bien que la Terre ait atteint son jour le plus court le 29 juin 2022, la trajectoire à long terme semble être passée du raccourcissement à l’allongement depuis 2020. Un mystère pour la recherche.
Sur Jupiter, les aurores sont liées au volcanisme d’Io, une des lunes de la géante rouge.
Dépasser les limites planétaires mettra en péril l’équilibre global du système Terre. Un point de rupture dont nous approchons, en dépassant les « frontières » ouvrant sur les zones critiques.
L’eau est l’élément indispensable à la vie sur notre planète. Connaître son origine est donc primordial.
Notre Soleil arrive environ à la moitié de sa vie, sa fin n’est pas prévue avant plus de 4 milliards d’années.
De la brise agréable en bord de mer aux plus terribles bourrasques, comment l’air circule-t-il sur Terre ?
Selon la position de la Lune par rapport à notre planète, on peut la voir en plein jour.
Bien qu’on utilise ses caractéristiques depuis plus de 1 000 ans, les modélisations de l’origine du champ magnétique terrestre se heurtent toujours à sa complexité.
Faisons le point sur les instruments qui ont permis de découvrir les ondes gravitationnelles, puis de les étudier. Depuis lors, ils alternent phases d’amélioration et campagnes de prise de données.
La découverte récente d’un fossile d’éponge pourrait être le plus ancien d’animal connu, prolongeant la chronologie de l’évolution de centaines de millions d’années.
C’est notamment grâce à la « balance à peser la Terre » de Henry Cavendish.
Les prévisions relatives au changement climatique prennent souvent l’année 2100 comme point final. Mais il est important d’envisager ce qui se passera au-delà, au moins jusqu’à l’an 2500.
Avec le décollage de l’exploration spatiale, il sera de plus en plus important d’étudier et de comprendre la sexualité, l’intimité, le désir et le plaisir hors de la planète Terre.
Le noyau de la Terre est presque aussi chaud que la surface du Soleil. Heureusement, la surface est beaucoup plus agréable.
Des recherches montrent que 80 % des cas de dépérissement de la végétation et des arbres en ville étaient reliés aux problèmes de gestion de sol.
Le réchauffement de la planète est la plus grande urgence à laquelle la Terre ait été confrontée. Nous devons passer plus de temps à parler des solutions pour faire face à la crise du climat.
Top contributors
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Astronome FNRS à l'Institut d'astrophysique et de géophysique, Université de Liège
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Géophysicien, Université de Lorraine
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Professeur, géologie, micropaléontologie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
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Professeur à Long Beach, Université de Californie et président de la Commission Internationale de Stratigraphique, California State University, Long Beach
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Physicien théoricien, Université Paris Cité
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Géochimiste, chargé de recherche CNRS au Centre de recherches pétrographiques et géochimiques de Nancy, Université de Lorraine
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Professeur en évaluation environnementale, UMR 5600 Environnement Ville Société, Mines Saint-Etienne – Institut Mines-Télécom
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Chercheur associé à l'UMR 5600 EVS, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
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Enseignant-chercheur en Physique, ECE Paris
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Cosmochimiste, chargée de recherche CNRS au Centre de Recherches Pétrographiques et Géochimiques (CRPG) de Nancy, CNRS, Université de Lorraine
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Director of the ARC Australian Centre for Excellence in Antarctic Science, University of Tasmania
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Senior Lecturer, School of Geography, Planning, and Spatial Sciences, University of Tasmania
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Professor in Physical Oceanography, Bangor University
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Economist, UNSW Sydney
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Senior Research Associate, Centre for the Study of Existential Risk, University of Cambridge
