À 81 ans, Newt Gingrich n’est plus à l’avant-plan de la vie politique américaine. Mais il a joué un rôle clé dans la polarisation que l’on observe actuellement entre Républicains et Démocrates.
Le décès de l’ancien premier ministre canadien Brian Mulroney donnera lieu à un vaste examen de son héritage. Une de ses politiques durables est le libre-échange avec les États-Unis.
Aux États-Unis, certains gouverneurs assouplissent depuis quelques mois les textes encadrant le travail des mineurs, allant parfois même à l'encontre des normes fédérales.
Le statut apparu avec la loi Pacte donnerait aux entreprises un rôle politique qu’elles ne devraient pas avoir, leur vocation sociale étant avant tout de réaliser des profits… et de payer des impôts !
Une vision répandue présente Ronald Reagan comme l’homme qui a livré un combat déterminé et constant à l’URSS et fini par la vaincre. Cette façon de présenter les choses est quelque peu simpliste.
Certes, la Cour suprême américaine penche désormais très nettement du côté des conservateurs. Pour autant, elle n’est pas devenue un outil politique à la botte de Donald Trump et du parti républicain.
La campagne électorale américaine est marquée par la résurgence d’un discours anti-élite porté aussi bien par le camp de Donald Trump que par plusieurs de ses adversaires démocrates.
Une résolution de l'ONU visant à punir ceux qui utilisent le viol comme arme de guerre et aider les survivants de telles atrocités a été édulcorée en raison de l'opposition américaine.
George H.W. Bush représentait un autre monde, et incarnait le héros américain qui inscrit sa légende dans une histoire collective, elle-même élargie aux frontières du monde.
Au regard des divisions qui se sont accentuées aux États-Unis depuis l’élection de Donald Trump, l’Amérique ressemble de plus en plus à celle des « années folles ».
Un phénomène inséparable de la démocratie d’opinion et de la conception libérale de l’information voulant que la vérité résulte naturellement de la mise en concurrence des idées de tous les contenus.
Le discours sur l’état de l’Union, un exercice traditionnel pour les présidents américains, a été marqué cette année par un changement de ton radical, dénotant le style quasi tyrannique de son auteur.
Du « Sommet de la Terre » à Rio en 1997 au récent retrait de l’Accord de Paris en juin 2017, Washington a toujours traité les négociations climatiques sous l’angle économique.
Cela fait plus de dix ans qu’on assiste, à travers toute la planète, à une forte hausse des crispations souverainistes, des irruptions d’anxiété identitaire et de xénophobie.
Enseignant au Moravian College de Pennsylvanie, doctorant au Laboratoire Interdisciplinaire De Droit et Mutations Sociales, Aix-Marseille Université (AMU)