Les infections post-vaccination peuvent s’expliquer par la réponse immunitaire, plus ou moins efficace d’une personne à l’autre en raison de l’âge, de l’état de santé ou de la prise de médicaments.
Les microbes présents dans l'intestin sont la clé d'une bonne santé.
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Une trop forte réaction immunitaire à un virus peut être mortelle et une trop petite le laissera nous infecter. Comment trouver le bon équilibre ? Le secret est peut-être dans notre microbiome.
Une femme portant un masque passe à côté du marché des fruits de mer de Huanan, à Wuhan, qui fut l’épicentre de la pandémie de Covid-19.
Hector Retamal / AFP
Adhésion et application précoces des mesures par la population, suivi renforcé… Les décisions des autorités chinoises ont permis au pays d’éviter une deuxième vague. Quels enseignements en tirer ?
Un employé inspecte des fioles d’un vaccin contre la Covid-19 produit par SinoVac dans son usine de Pékin le 24 septembre 2020.
(AP Photo/Ng Han Guan)
Notre exposition à un agent pathogène, que ce soit naturellement ou par la vaccination, peut affecter la manière dont notre système immunitaire réagira à l’avenir à des agents pathogènes similaires.
Vente d'animaux sauvages, Möng La, Shan, Myanmar.
Dan Bennettd/Wikimedia
Pour mieux anticiper et gérer l’irruption de nouvelles pandémies, il faut changer de paradigme et tenir compte des interactions complexes entre santé humaine, santé animale, environnement et économie.
Un homme en costume de médecin de la peste bubonique du XVIIème siècle, pose pour une photo dans le centre de Leeds (Royaume-Uni), le 21 mars 2020.
Oli Scarff/AFP
Claire Deligny, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
À l’ère de la pandémie de Covid-19, la visibilité accrue des historiens dans les médias pose la question du rôle de l’histoire et de ceux qui l’étudient.
La police ordonne aux manifestants hostiles à la nouvelle législation sur la sécurité de se disperser, dans le quartier de Causeway Bay, à Hong Kongn le 24 mai 2020.
Isaac Lwrence/AFP
Pékin érode toujours davantage le principe « Un pays, deux systèmes » en vigueur à Hong Kong depuis sa rétrocession à la Chine en 1997. La tension est dernièrement encore montée d'un cran.
Au-delà de la fragilité immunitaire qui caractérise certains patients atteints de troubles psychiatriques, l'épidémie et les mesures de distanciation ont des effets délétères sur la santé mentale.
Fréquemment en contact avec l’être humain, les rongeurs hébergent de nombreux virus potentiellement dangereux.
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Gauthier Dobigny, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La pandémie de Covid-19 qui a durement frappé la planète était attendue par les scientifiques qui étudient les maladies émergentes d’origine animale. Saurons-nous anticiper davantage la prochaine ?
Une femme regarde de nouvelles tenues anti-SRAS pour le personnel médical exposées, le 6 novembre 2003, à Shanghai, en Chine, au moment où le pays se préparait à une résurgence de la maladie, qui n’a jamais eu lieu.
AP Photo/Eugene Hoshiko
Le COVID-19 et le SRAS sont tous deux mortels - mais différents. Les symptômes du SRAS apparaissaient rapidement, ce qui l'a rendu plus facile à contenir. Le virus est donc mort.
Dans quel état psychologique allons-nous sortir du confinement ?
Ujjwal chouhan / Unsplash
Un nouveau format dans The Conversation : des vidéos de scientifiques confiné·e·s, pour toujours éclairer le débat. Quelles sont les conséquences psychologiques du confinement et comment les atténuer ?
Analyse d’échantillons d’eaux usées en laboratoire.
Derrick Ceyrac/AFP
Le 19 avril 2020, des traces du coronavirus étaient retrouvées dans le réseau d’eau non potable de Paris. Le suivi de cette présence pourrait apporter de précieuses informations sur l’épidémie.
Le ministre de la Santé Olivier Véran, ici à l'Assemblée nationale le 21 mars, a annoncé à cette même date la commande de 250 millions de masques.
Ludovic Marin/AFP
Arnaud Mercier, Auteurs historiques The Conversation France
Ce récit chronologique, commençant en 2005, expose la succession des décisions officielles qui expliquent l’actuelle pénurie de masques de protection en France.
Il est possible que les chiens promènent le coronavirus sans être infectés. Dans ce cas, ils seraient des « fomites » : des vecteurs passifs de transmission du virus. Toussez dans votre coude, pas sur votre chien.
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À Hongkong, un loulou de Poméranie a provoqué la panique. Vous n’avez pourtant pas à vous soucier de la propagation du Covid-19 par vos animaux de compagnie.
À l'hôpital de la Croix-Rouge de Wuhan, des membres du personnel médical portant des vêtements de protection tentent d’arrêter la propagation du Covid-19, le 25 janvier 2020.
Hector Retamal / AFP
Mis en place après l’avènement de la République populaire, le système de santé chinois a pâti de l’ouverture économique. En 2003, le SRAS a contraint les autorités à le réformer. Est-ce suffisant ?
Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom, et le président chinois Xi jinping à Pékin le 28 janvier 2020.
Naohiko Hatta/AFP
Pour les autorités chinoises, au-delà de la crise sanitaire, l'épidémie de coronavirus représente également un défi majeur en termes d'image, à l'intérieur comme à l'extérieur.
Les premières données semblent indiquer que le coronavirus se propage plus vite que le SRAS en 2003.
Nicolas Asfouri/AFP
Arne Ruckert, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Hélène Carabin, Université de Montréal, and Ronald Labonte, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
L'épidémie de coronavirus en Chine fait craindre une prochaine grande pandémie mondiale. Alors que l'OMS déclare une urgence mondiale, elle alimente également une pandémie de peur.
Représentation 3D du coronavirus 2019-nCoV. Les spicules rouges, qui sont vus comme une couronne (« corona ») en microscopie, lui servent à pénétrer dans les cellules.
Alissa Eckert/CDC
Le nouveau coronavirus qui a émergé en Chine a déjà entraîné plus d’une centaine de décès. Que sait-on jusqu’à présent de l’infection, et quels sont les profils à risque ?
Un employé désinfecte la gare de Hankou, à Wuhan, épicentre de l’épidémie de coronavirus 2019−nCoV.
STR/AFP
Un nouveau coronavirus responsable de pneumonies graves sévit en Chine. Alors qu’il a déjà 107 décès à son actif et semble se propager à l’étranger, Éric D’Ortenzio fait le point sur ce cousin du SRAS.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)