Comment intensifier la production végétale dans un contexte de sécheresse et d’une façon durable ? C’est un défi scientifique et sociétal multidimensionnel pour assurer la sécurité alimentaire future.
Considérant que le développement professionnel des enseignants est associé à un mieux-être au travail, il convient d’envisager des activités de formation continue adaptées à la profession enseignante.
Un travail de recherche préconise d’opérer le changement autour de la refonte de trois blocs : les produits, les chaînes d’approvisionnement et les parcours clients.
L’Inde est le plus grand consommateur d’eau souterraine au monde. Mais pour faire face aux pénuries d’eau, cette politique originale d’irrigation doit aujourd’hui être repensée.
Pour mieux présenter les riches ressources géologiques du Bassin parisien, le Service géologique national (BRGM) vient de dévoiler une nouvelle carte ludique et pédagogique centrée sur Paris.
Réduire les aires protégées à un outil de spoliation, c’est oublier la diversité de leur statut et de leur gouvernance. On recense aujourd’hui dans le monde 200 000 aires protégées.
Lasâad Dammak, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Inégalement répartie sur Terre, l’eau douce est aussi souvent mal utilisée. Des procédés existent pour remédier à ces difficultés d’accès, offrant des résultats prometteurs, comme au Sénégal.
Une nouvelle loi change les pratiques de réutilisation des eaux usées au sein de l’UE. Cette pratique s’avère essentielle pour pallier les diminutions des ressources en eau dans le monde.
Du 7 février au 12 mars 2022, la grande caravane de l’agroécologie fait le tour du pays pour rencontrer les populations rurales et développer d’autres façons de produire, échanger et consommer.
Jusqu’au mois de mars 2022, nous vous proposons de suivre le périple des membres de la Dynamique pour une transition agroécologique au Sénégal sous la forme d’un journal de bord.
Valérie Lafond, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) and Marie-Josée Drolet, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)
Les générations actuelles se doivent d’occuper leur environnement de manière écoresponsable pour que les générations futures aient accès à des ressources suffisantes à leur survie et à leur bien-être.
Faut-il élargir les droits subjectifs aux seuls animaux ou à la nature tout entière ? Les défenseurs de la cause animale estiment que l’écocentrisme juridique est fondamentalement anthropocentrique.
Nous manquons déjà d’eau, localement et de plus en plus souvent. Des outils existent pour une meilleure gestion intégrée de cette ressource, reste à les mettre en œuvre plus efficacement.
Maître de conférences en sciences économiques, chargée de recherche au CEPII – Recherche et expertise sur l'économie mondiale, Université Paris Dauphine – PSL