Des algorithmes permettent désormais d’estimer le « juste prix » à payer pour le consommateur. Réservés pour l’instant aux grands crus, ils pourraient rapidement influencer le marché grand public.
Le compte Twitter d'Elon Musk, qui a acquis la plateforme le 25 mai 2022 pour 44 milliards de dollars américains.
Olivier Douliery/AFP
Twitter, plus que tout autre réseau social, permet de suivre et de commenter les événements en temps réel. L'acquisition de la plate-forme par Elon Musk pourrait radicalement changer la donne.
Pour le moment, la plupart des solutions alternatives aux cookies privilégient l’objectif commercial aux dépens des attentes des internautes.
Piqsels
La cryptographie se base entre autres sur l’utilisation de nombres aléatoires. Or, produire des nombres aléatoires n’est pas si simple que cela, et peut mener à des failles de sécurité.
Le rapport entre une tasse et une carte bleue ? Pour un ordinateur, calculer en combien de morceaux la première se brisera est aussi compliqué que trouver le code de la seconde !
Joanna Bourne/Flickr
La cryptographie actuelle est basée sur le fait que les ordinateurs classiques ne peuvent pas résoudre tous les problèmes. Un paradigme que l’ordinateur quantique pourrait bousculer…
Avec le paiement à la tâche, les livreurs ont intérêt à se disperser au maximum pour obtenir rapidement des commandes.
Oli Scarff/ AFP
Innovation majeure en cours de développement, l’informatique quantique se base sur des algorithmes et des logiques entièrement différents de l’informatique classique.
Dans certaines régions de l’empire du Milieu, plus la note que les algorithmes attribuent aux citoyens est élevée, meilleurs sont leurs droits.
Greg Baker / AFP
Les technologies de contrôle des citoyens peuvent réduire le coût social des crimes et des incivilités, mais posent de questions troublantes en termes de droit à la vie privée.
Le numérique ne doit pas être un sujet à part du point de vue de sa gouvernance.
Phonlamai Photo/Shutterstock
Parcoursup s’invite d’ores et déjà dans la campagne présidentielle. Que penser des discours tenus par les candidats sur ce sujet de l’orientation post-bac ?
Marc Bidan, Auteurs historiques The Conversation France et Meriem Hizam, Université de Nantes
La persistance de l’intelligence humaine dans l’intelligence artificielle est ici décryptée via le fameux paradoxe de l’ambiguïté du silence du robot R2-D2 dans la saga « Star Wars ».
Les algorithmes permettent de résoudre des problèmes mathématiques et informatiques.
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Les algorithmes ont traversé l’histoire, de l’antiquité aux GAFAM. Pour mieux comprendre ces boîtes noires et les questions que posent leurs utilisations.
Illustration d'un réseau de données massives.
Maxger/Shutterstock
Et si l’IA n’était pas si intelligente que ça ? Dans beaucoup de domaines, il est complexe d’obtenir de bonnes données pour entraîner les algorithmes et avoir donc de bonnes réponses de la machine.
Un grimpeur avec le dispositif d'enregistrement.
Guillaume Hacques
Quels sont les mécanismes à l’œuvre lorsque nous apprenons ? Prenons l’exemple de l’escalade et voyons comment l’informatique et les algorithmes peuvent nous éclairer.
Les bacheliers qui entrent cette année pour la première fois à l'université sont tous passés par Parcoursup.
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Alors que Parcoursup a fermé ses portes, un certain nombre de lycéens candidats ont quitté la procédure sans avoir eu de proposition d’affectation dans l’enseignement supérieur. Décryptage.
L’aide à la décision que permet l’IA peut par exemple jouer un rôle dans le choix d’accorder ou non un crédit à l’emprunteur qui le sollicite.
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Parmi les nombreuses possibilités offertes par l’IA, l’aide à la décision prend une place croissante dans nos vies. Avec le risque de créer ou d’amplifier certaines discriminations.
Titres de médias sur les biais des algorithmes des réseaux sociaux.
Thibault Grison
De nombreux exemples de discriminations en ligne sont liés à la modération des contenus par les plates-formes et réseaux sociaux, parfois humaine, parfois automatisée.
Professeur à l'université Clermont-Auvergne, enseignant à l'institut d'informatique ISIMA et chercheur au laboratoire LIMOS, Université Clermont Auvergne (UCA)
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School