Bernard Deschamps, Université du Québec à Montréal (UQAM) and Michel Leclerc, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Québec se prépare à publier une nouvelle cartographie des zones inondables. Ses conséquences seront majeures pour les résidents et les municipalités visés. Des solutions permettraient de les atténuer.
Une étude suggère une classification des pays en fonction de leur endettement et de leur exposition aux risques environnementaux pour adapter les outils financiers au cas par cas.
Les jeux sérieux offrent l’opportunité de tester des procédures, de faire dialoguer des personnes de niveaux différents et sont donc des outils très utilisés pour la prévention des risques.
Une série estivale sur la sulfureuse et insoupçonnée liaison entre James Bond et la géologie. On décrypte le plausible du surréaliste, géologiquement parlant, dans les scénarios.
Très vulnérables, les côtes africaines se dotent peu à peu de caméras qui contribuent à constituer une base de données utile à la prévention des risques.
Pour faire face à la multiplication d’événements naturels destructeurs, il est nécessaire de consolider, stimuler et coordonner l’effort de recherche national sur les risques.
Les différentes études font état d’une augmentation à venir des indemnités versées située dans une fourchette d’un à quatre milliards par an d’ici 2050.
Le bois mort est un élément essentiel pour le fonctionnement des forêts et pour favoriser la régénération après des perturbations telles que les incendies et les tempêtes.
Le programme d’aide pour les victimes d’inondation transfère une bonne partie des coûts vers les sinistrés. On peut se demander si elle encouragera la relocalisation et la diminution du risque.
Joël Guiot, Aix-Marseille Université (AMU) and Wolfgang Cramer, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
La région, par sa biodiversité, son climat, sa démographie et ses activités économiques et touristiques, est particulièrement vulnérable aux risques environnementaux.
Le séisme du Teil a montré que les ruptures sismiques peuvent atteindre la surface en France métropolitaine. Le risque sismique doit être réévalué, notamment à proximité d’infrastructures sensibles.
À certaines conditions, assurer les cultures face aux chocs climatiques pourrait encourager les agriculteurs à adopter des pratiques moins dépendantes des pesticides.
Le défi climatique implique d’anticiper le temps long et de décider dans l’incertitude. Combiner différentes solutions dans le temps est fondamental pour construire des stratégies d’adaptation.
Directeur de Recherche CNRS, Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne