Les eurosceptiques critiquent la réaction de l’UE à la crise sanitaire et c’est bien normal, ils sont dans leur rôle ; mais pourquoi tant de pro-Européens leur emboîtent-ils le pas ?
Miser sur l’identité artisanale et le développement durable apparaissent comme les pistes à privilégier pour sauver la Sérénissime, actuellement désertée par les visiteurs.
Face à la propagation du virus, les États et les organisations supranationales ont opté pour des approches différentes à l’égard de leurs frontières respectives. Tour d’horizon.
La pandémie de Covid-19 incite les Européens à repenser leur rapport aux frontières. Face à la menace de la propagation de la maladie, la frontière doit-elle être un mur ou un filtre ?
Quel parallèle peut-on tracer entre la gestion par les pays de l’espace Schengen de la crise des migrants en 2015 et leur réaction à l’actuelle épidémie sanitaire ?
La réglementation européenne prévoit que les compagnies aériennes peuvent perdre leurs « slots » si elles ne les utilisent pas. Bruxelles va suspendre cette mesure en raison de la pandémie.
La Confédération helvétique a déjà négocié des accords avec Londres qui écartent les questions d’harmonisation des normes. Pour Bruxelles, suivre la même voie s’avère toutefois plus compliqué.
Acheter des plantes produites dans d’autres pays contribue à la diffusion de ravageurs et de maladies exotiques qui affectent les cultures et les forêts.
Le Parti chrétien-démocrate de la chancelière allemande Angela Merkel traverse une crise profonde que la récente démission de sa présidente, Annegret Kramp-Karrenbauer, a encore exacerbée.
Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
Sa nomination à la tête de la Banque centrale européenne pose la question d’une représentation féminine qui reste très minoritaire au sein des instances de pouvoir économique.
Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
L’acte de décès de l’OTAN a souvent été dressé depuis la fin de la guerre froide, y compris tout récemment, mais l’Alliance est toujours là et a peut-être encore de longues années devant elle.
Sabrina Grillo, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le choix des couleurs en politique n’est jamais anodin, comme le montre l’étude des dernières décisions prises en la matière par les principales formations espagnoles.