Les régimes à base de plantes sont-ils pauvres en protéines ? La réponse est non. Surtout s’ils associent des céréales et des légumineuses, également des graines, des algues et des champignons.
Les lentilles d’eau sont de petites plantes aquatiques qui peuplent la surface des eaux douce à travers le monde. Bien qu’elles puissent paraître banales, elles sont une excellente source de protéines.
Le manganèse pourrait permettre de traiter une maladie génétique rare de la famille des CDG caractérisées par une atteinte intellectuelle et un retard de croissance. Un nourrisson en a déjà bénéficié.
Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Les légumineuses présentent un intérêt nutritionnel certain. Mais elles sont jugées peu digestes et les phyto-estrogènes du soja inquiètent. Apprenons à les cuisiner pour en profiter sans risques ni inconforts.
Les aliments « végan » sont perçus comme n’ayant pas d’ingrédients d’origine animale par la plupart de consommateurs, mais peuvent en fait contenir des protéines de lait.
Michel Bourguignon, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay et Nicolas Foray, Inserm
Alors que les recherches sur les deux principales pistes d’explication de la maladie d’Alzheimer piétinent, des données récentes ouvrent une troisième voie, impliquant des problèmes de réparation de l’ADN.
Faute de traitements, des symptômes de la schizophrénie, telle que la tendance à l’isolement ou l’altération de la communication, sont peu pris en charge. Des travaux récents pourraient changer la donne.
Des bactéries résistantes à des quantités phénoménales de radiation poussent à repenser notre compréhension des mécanismes qui sous-tendent le vieillissement.
L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
Pour construire des politiques publiques efficaces, il apparaît urgent d’appréhender ces problématiques dans leur globalité, et non au prisme d’un unique enjeu ou de quelques critères.
L’intelligence artificielle de Google défraye la chronique en prédisant des structures de protéines, mais il manque des informations majeures pour comprendre les processus biologiques.
La maladie d’Alzheimer n’est peut-être pas principalement une maladie du cerveau. Il pourrait s’agir d’un trouble du système immunitaire à l’intérieur du cerveau.
L’œuf traîne depuis les années 1980 une réputation d’épouvantail sur le plan du cholestérol… Réhabilitons cet aliment nutritif et peu calorique ! Quels sont les vrais et faux problèmes de l’œuf ?
Mieux comprendre l’environnement des cellules cancéreuses et la communication entre ces cellules, les cellules saines et leur environnement permettrait d’affecter leur développement.
Les dépôts de protéines sont tenus pour responsables de la maladie d’Alzheimer, mais les médicaments qui les ciblent échouent. Nous devons orienter les recherches vers les premiers stades de la maladie.
Démystification de la manière dont les protéines de nos cellules sont gérées au niveau de leur synthèse et de leur dégradation. Une perturbation de cet équilibre peut être associée au cancer.
Dans le contexte climatique actuel, il est important d’investiguer et de comprendre le mécanisme de croissance des végétaux pour espérer conserver une pérennité dans les cultures agricoles.
Chargée de recherche CNRS Chimie et vivant. Médiatrice scientifique. Laboratoire Chimie et Biochimie Pharmacologiques et Toxicologiques, Université Paris Cité