Très tôt dans son histoire, l’extrême droite européenne s’est intéressée aux questions environnementales. Au sein du Rassemblement national (RN) toutefois, on observe un net désintérêt.
Bakou s’implique dans la crise néo-calédonienne au nom de la « lutte contre la colonisation ». En réalité, l’objectif est de nuire à la France, considérée comme un soutien de l’Arménie.
La philosophie politique s’est attachée à distinguer l’autorité du pouvoir. C’est d’ailleurs lorsque ces deux termes se confondent que naissent les régimes qualifiés d’autoritaires.
Après des années de subtil jeu d’équilibre entre la Russie et l’Occident, le pouvoir de Tbilissi semble avoir tranché en faveur de Moscou. Une trajectoire que la population conteste avec force.
Les relations entre Pékin, Moscou, Téhéran et Pyongyang ne cessent de se renforcer. Les quatre régimes partagent bien des points communs, en politique intérieure comme extérieure.
Jean-Luc Maurer, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
Le vainqueur de la présidentielle est un militaire soupçonné d’avoir commis des crimes graves pendant la dictature de Suharto. S’il assure avoir changé, ses détracteurs ne lui font guère confiance…
Le poutinisme repose sur la thanatopolitique – de thanatos, la mort – qui proclame que la vie des citoyens n’a de sens que si elle est vécue, et sacrifiée, dans « l’intérêt de la Russie ».
Ces trois sœurs dominicaines assassinées le 25 novembre 1960 par le régime de Trujillo sont passées à la postérité : le 25 novembre est, depuis 1999, la Journée contre les violences faites aux femmes.
Selon le président russe, candidat à sa propre succession et certain d’être réélu en mars prochain, son pays va bien et aucun changement majeur ne doit être mis en œuvre.
Frédéric Zalewski, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le parti de droite PiS, au pouvoir depuis 2015, a été vaincu dans les urnes lors des législatives du 15 octobre dernier. Pourtant, il s’accroche au pouvoir.
Michel Roche, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Le régime de Vladimir Poutine est autoritaire, conservateur et réactionnaire. Mais il ne peut être qualifié de fascisme, une idéologie qui se veut révolutionnaire et totalitaire.
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières