L’urgence climatique exige des institutions scientifiques une mobilisation totale. Mais leurs difficultés d’adaptation et le cloisonnement persistant entre disciplines freinent leur action.
Alors que la planète se dégrade, l’angoisse environnementale gagne du terrain, générant un mal-être d’un nouveau genre : l’éco-anxiété. Mais ce n’est peut-être pas une mauvaise nouvelle.
La décision d'Élections Canada d'empêcher les organismes de parler des changements climatiques pendant la campagne électorale est scandaleuse, selon l'ex-commissaire à l'environnement de l'Ontario.
Il y a un buzz autour du développement durable, mais les consommateurs ont encore du mal à développer de nouvelles habitudes. Voici comment changer cela.
Les nations insulaires composées d'atolls risquent d'être anéanties par l'élévation du niveau de la mer. Pourtant, la communauté internationale ne fait pratiquement rien pour les aider.
Une étude révèle que les futurs diplômés ont une vision globalement positive de l’entreprise mais sans naïveté. Ils attendent qu’elles développent leur responsabilité sociale et environnementale.
En Afrique aussi la jeunesse se mobilise pour le climat, même si pour différentes raisons structurelles, le mouvement apparaît plus timide que dans d’autres régions du monde.
Les gens qui consacrent au moins deux heures par semaine dans la nature ont tendance à se trouver davantage en bonne santé ou encore d’éprouver un plus haut niveau de bien-être.
Face à l’urgence climatique, le rôle de l’enseignement supérieur et notamment des écoles de commerce est fondamental. Mais ces établissements n’apparaissent pas aujourd’hui à la hauteur des enjeux.
La 1ère étude sur l'empreinte carbone de l'industrie pharmaceutique constate qu'elle est non seulement un contributeur important au réchauffement climatique, mais aussi plus polluante que le secteur automobile.
Pollutions, surexploitations, compétitions, l’avenir de l’océan est alarmant. Alors que la journée du 8 juin lui est dédiée, apprenons des initiatives locales pour sa gestion durable.
Si les dangers de la pollution de l’air extérieur sont aujourd’hui bien connus, ceux relatifs à l’air que l’on respire dans les espaces clos le sont beaucoup moins, révèle une étude internationale.
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professor at Vancouver Island University & Postdoctoral fellow, Centre d’études en gouvernance et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité mondiale, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa