Lors du dernier Forum économique mondial, les grandes entreprises semblent avoir pris conscience que les marchés, aujourd'hui défaillants, ne permettraient pas d'atteindre une croissance soutenable.
La notion d’« explosion » urbaine africaine alimente les visions catastrophistes. Or, si le nombre de mégapoles augmente, l’urbanisation se déroule en bonne partie dans les campagnes.
Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, les leviers qui stimulent la croissance actuelle semblent atteindre leurs limites. Une récession devrait toutefois être évitée.
Longtemps vu comme une problématique relevant des « externalités » négatives, le changement climatique interroge désormais la raison d’être de nos sociétés.
Dans une phase de croissance rapide, une entreprise va rencontrer un certain nombre de situations contradictoires auxquelles elle n’est pas forcément préparée.
Les compagnies d’assurance poussent aujourd’hui les clients à opter pour des placements moins sûrs, mais la perception du contexte économique par les ménages complique cette stratégie.
L’UE encourage les régions à devenir des leaders mondiaux dans les secteurs qu’elles auront choisis. Une politique mal adaptée aux territoires les plus pauvres.
La relance du programme d’assouplissement quantitatif décidée en septembre dernier a attisé la colère du camp « allemand », que la France rejoint pour la première fois.
Meissa Babou, Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Les difficultés économiques du Sénégal relèvent de plusieurs facteurs qui ont plongé la trésorerie de l’État dans d’énormes difficultés que seules des réformes structurelles peuvent redresser.
La réduction des activités nécessaire pour faire face de façon équitable aux grands défis sociaux et environnementaux devrait entraîner une réorganisation profonde de la société et de l’économie.
Un modèle de croissance fondé sur la décarbonisation de l’économie passe par la prise en compte du capital social et environnemental. De nouvelles normes commencent justement à apparaître en ce sens.
Des chercheurs de GEM tirent un premier bilan de cette initiative lancée il y a 18 mois visant à dynamiser le territoire en favorisant la collaboration entre les différents acteurs locaux.
Dans beaucoup d’industries, les firmes les plus puissantes rachètent les start-up et cherchent à élever les barrières à l’entrée du marché, ce qui freine le dynamisme entrepreneurial et l’innovation.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)