Lors du troisième et ultime échange entre les deux candidats, Donald Trump a menacé de ne pas reconnaître son éventuelle défaite, accusant le camp démocrate de fraudes.
Donald Trump n’hypnotise plus l'Amérique.
Mary Schwalm/AFP
Son ton nouveau et sa capacité de jouer le rôle du chien dans un jeu de quilles lui avait donné une emprise sans précédent sur la campagne. Mais cette nouveauté n’a pas duré : tout passe, tout lasse.
Donald ou Hillary ? Ce qui a joué.
Anthony Wallace/AFP
La combinaison de deux paramètres essentiels – situation économique et charisme du candidat – jouait en faveur du prétendant républicain. Voici comment un modèle le prévoyait.
Un second débat sous haute tension.
Paul J. Richards/AFP
Le second débat a été extrêmement tendu et tout aurait pu déraper à n’importe quel moment. Aucun des candidats n’a réellement pensé à développer des points en rapport direct avec leurs électeurs.
Les attaques pleuvent des deux côtés.
DonkeyHotey/Flickr
L'analyse détaillée de la couverture médiatique de la campagne permet de découvrir ce qui retient l'attention des journaux et des chaînes de télé - et, in fine, des électeurs.
Le dragon et la première de la classe côte à côte lors du premier débat organisé à New York.
Drew Angerer / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP
Les deux candidats, dont l'impopularité atteint des sommets jamais vus lors d'une campagne, ont croisé le fer autour de trois grands thèmes : la direction des États-Unis, la prospérité et la sécurité.
La candidate démocrate, le 8 septembre à New York, sur le gril des questions de Matt Lauer (NBC).
Justin Sullivan / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP
En attendant le premier débat entre les deux candidats à la Maison-Blanche, ces derniers sont intervenus publiquement sur les questions internationales. Et Donald Trump a mieux résisté que prévu.
Donald Trump reçu par le président du Mexique, Enrique Peña Nieto, le 31 août dernier.
Yuri Cortez/AFP
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Adepte de la provocation permanente, le candidat républicain en a fait l’un de ses chevaux de bataille. À coups de statistiques fantasques et de discours à l’emporte-pièce. Mais avec un certain écho.
Meeting, le 24 août, à Jackson (Mississippi).
Jonathan Bachman/AFP
Devancé pendant la campagne dans les sondages par Hillary Clinton, Donald Trump s'est employé avec opiniâtreté à allumer une polémique concernant, notamment, la question des pièces d’identité.
Devant le centre commercial Olympia, à Munich, le 25 juillet.
Christof Stache/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Le recours systématique et répété aux expressions de « terrorisme » et de « guerre » interdit la prise en compte de la complexité et de la diversité des problèmes, et fait le lit de l’autoritarisme.
La partie est loin d’être gagnée pour Hillary Clinton.
John Gurzinski/AFP
En 2004, John Kerry possédait, à la même époque une avance considérable sur George W. Bush. Une avance équivalente à celle d’Hillary Clinton sur Donald Trump aujourd’hui.
Derniers préparatifs à Cleveland (Ohio).
John Moore/AFP
C’est le moment du sacre pour Donald Trump, qui sera choisi à Cleveland par les délégués et recevra l’investiture du Parti. Retour sur la campagne d’un homme qui a déjoué tous les pronostics.
Donald Trump en salle de réunion dans un épisode de « The Apprentice ».
Nick Lehr/The Conversation
La surprenante ascension du magnat américain, qui bouscule les élites traditionnelles, a lieu dans un climat dépressionnaire outre-Atlantique. La France n’a pas le monopole de l’angoisse du lendemain.
Hillary a un problème, les femmes.
John Sommers II/AFP
La prochaine présidentielle aux États-Unis verra peut-être la victoire historique d’une femme. Mais, paradoxalement, Hillary Clinton séduit peu dans cette partie de l’électorat. Voici pourquoi.
Mars 2013 : Donald Trump s'adresse aux participants de la Conservative Political Action Conference (CPAC) à National Harbor, Maryland.
Gage Skidmore/Flickr
Le 27 avril 2016, le futur candidat républicain à l’élection présidentielle américaine de novembre a exposé son cap pour la politique étrangère. Tour d’horizon en cinq questions.
Enseignant au Moravian College de Pennsylvanie, doctorant au Laboratoire Interdisciplinaire De Droit et Mutations Sociales, Aix-Marseille Université (AMU)
Professor in U.S. Politics and U.S. Foreign Relations at the United States Studies Centre and in the Discipline of Government and International Relations, University of Sydney