Si les méfaits pour la santé des aliments ultra-transformés sont de plus en plus connus. L'impact de ces produits sur notre modèle agricole l'est moins. Il est pourtant colossal.
Quand les grands chefs reproduisent à l’identique des produits issus de la « junk food », la gastronomie et la santé n’en sortent pas forcément gagnantes.
Les campagnes en faveur d’une alimentation saine mettent en avant des produits bons pour la santé. Or, il existe un moyen inattendu plus efficace pour détourner de la « junk food ».
Obésité ou hypertension sont des facteurs de risque en cas de Covid. Or on sait le rôle de l’alimentation dans leur développement. Bien se nourrir n’a pourtant pas été mis en avant lors de l’épidémie.
L’exercice réalisé sur une base régulière permet d’améliorer les processus cognitifs, permettant notamment de réguler la consommation de malbouffe et de réduire le stress.
Dans les fruits comme les sucres transformés, on trouve du fructose qui peut être nocif pour la santé. Pourquoi, dès lors, encourager la consommation de fruits ? Décryptage d’un apparent paradoxe.
Au milieu des préconisations pour améliorer notre alimentation, une approche simplifiée est possible. Revenir à des notions basées sur le concept des 3V propose un mieux pour nous et la planète.
La tartine s’est imposée comme une composante incontournable du petit-déjeuner. Mais d’où vient-elle ? Comment a-t-elle été associée aux pâtes à tartiner ? Et comment en tirer un repas équilibré…
Une nouvelle étude chiffre les avantages – ou impacts – de chaque aliment pour la santé et l’environnement et montre comment de petits changements peuvent faire une différence significative.
La récente conférence de presse du footballeur portugais, devenue virale sur les réseaux, est l’occasion de revenir sur des travaux envisageant des mesures de prévention face à cet enjeu sanitaire.
Après plus d’un an à manger sous l’effet du stress et à ne se voir qu’à travers des écrans, l’anxiété liée aux changements d’apparence physique peut rendre le retour à socialisation intimidant.
On ne peut pas affirmer qu’un régime à bas IG fait maigrir et protège de diverses maladies. Mais il est associé à une meilleure santé – peut-être par son contenu riche en fibres et pauvre en sucres.
Si les jeunes apprécient de se retrouver entre amis dans les fast-foods, ils font aussi partie d’une génération soucieuse de l’environnement, ce qui fait émerger de nouvelles habitudes alimentaires.
Focalisé sur les nutriments, le nutritionnisme a longtemps dominé la recherche, des conseils diététiques et du marketing alimentaire. Il est temps de changer d’approche pour revenir à l’aliment.
Il peut exister une rupture entre les normes du « bien manger » diffusées par l’école et l’alimentation réellement accessible aux élèves, financièrement ou géographiquement. Comment la surmonter ?
Les pays les plus touchés au monde par l’obésité se situent dans le Pacifique. Comprendre pourquoi nécessite de s’intéresser à la diversité des territoires et des cultures des populations.
Parcourue d’injonctions contradictoires, façonnée localement, sans cesse réinventée : l’alimentation dans les villes du Sud global échappe au récit d’une uniformisation occidentale.
Si la durabilité des systèmes alimentaires est menacée aujourd’hui par un excès de calories d’origine animale, elle l’est également, et c’est bien moins connu, par les calories ultratransformées.
La consommation excessive de malbouffe pendant l’adolescence peut altérer le développement du cerveau, ce qui entraîne de mauvaises habitudes alimentaires durables.
Maître de conférences à l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP, CERAG, co-responsable de la Chaire Marketing au Service de la Société (M2S) de Grenoble IAE, Grenoble IAE Graduate School of Management
Maître de conférences en sciences de l'information et de la communication, en délégation à l'Université de Nouvelle Calédonie, CY Cergy Paris Université