À l’origine des déséquilibres, on retrouve généralement des évènements liés à l’une sphère qui ont des conséquences dans l’autre. Plusieurs outils sont à disposition du management pour faire face.
Si nous restons au quotidien les yeux rivés sur le chronomètre, nous passons à côté des émotions positives qui sont à l’origine de nos meilleures idées.
Faut-il s’inquiéter lorsqu’un enfant s’invente un compagnon de jeu ? Des études montrent au contraire que les amis imaginaires stimuleraient la créativité et l’empathie des plus jeunes.
La promotion du bonheur n’a jamais été aussi intense. Tou(te)s semblent s’être converti·e·s à ce nouvel eldorado social. Alors « don’t worry, be happy »… mais à quel prix ?
La toute-puissance des réseaux sociaux bouscule les logiques traditionnelles des mobilisations, de la communication, de l'information et du fonctionnement de l'espace public.
Le responsable qui parvient à produire des sentiments de justice chez ses collaborateurs va à la fois répondre à leurs besoins fondamentaux et construire sa propre légitimité.
Dans le sport, les entraîneurs calmes obtiennent généralement de meilleurs résultats que les plus agités. Une tendance que l’on retrouve chez les managers en entreprise.
Le simplisme et le « démagogisme » des solutions avancées par les gilets jaunes montrent que la route sera longue. Mais n’est-ce pas une étape nécessaire dans tout cheminement démocratique ?
Grâce à des outils visant à créer des émotions chez leurs clients, les entreprises vont renforcer leur engagement en les transformant notamment en ambassadeurs. Avec, à la clé, de nombreux bénéfices.
Alain Faure, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
L’actualité du gouvernement Philippe illustre un tournant émotionnel qui transforme, de façon insidieuse, notre relation à l’État, mais aussi à la citoyenneté et au territoire.
Les éliminations spectaculaires des équipes ayant triomphé quatre ans plus tôt sont riches d’enseignements sur ce qu’il faut faire et ne pas faire lorsque l’on est une entreprise leader sur un marché.
Catherine Baroin, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Parmi les peuples qui vivent au Sahel, ne pas respecter les codes et les comportements attendus conduit à l’opprobre général, voire au rejet catégorique qui n’aura d’issue que l’exil.
Face aux agents et autres robots dopés à l’IA, on doit développer les compétences liées à l’intelligence émotionnelle. Et bien la mesurer. Résultats d’une recherche-action dans ce domaine.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)