Gilles Béna, Institut de recherche pour le développement (IRD); Anne Geiger, Institut de recherche pour le développement (IRD), and Frank T. Wieringa, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Nous vivons sur une planète de microbes. Peut-on les qualifier d’utiles ou d’inutiles ? Tout dépend du point de vue.
Jérôme Comte, Institut national de la recherche scientifique (INRS); Christophe Langevin, Institut national de la recherche scientifique (INRS), and Naíla Barbosa da Costa, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
De nouvelles techniques permettant de surveiller en temps réel la santé des lacs en analysant leur microbiome pour anticiper et répondre aux menaces environnementales, telles que les cyanobactéries.
La prévention des infections est axée sur l’environnement hospitalier plutôt que sur le patient. Or, les microbes résistants aux antibiotiques sont bien souvent déjà présents sur la peau du patient.
On pensait jusqu’à présent que le cerveau était stérile, préservé des micro-organismes par la barrière hématoencéphalique. Mais des travaux menés ces dernières années sèment le doute…
Alors qu’une semaine ou deux suffisent généralement pour les draps, il est préférable de laver les serviettes tous les deux jours. Voici les explications d’un microbiologiste.
Nous négligeons souvent notre hygiène bucco-dentaire. Des recherches ont pourtant montré que la présence de bactéries nocives dans la bouche peut augmenter le risque de survenue de certaines maladies.
Afin de mieux assurer la qualité des eaux de baignade et des coquillages, il faut d’abord identifier les sources de contamination microbiologique, souvent d’origine fécale.
Elles nous paraissent être des havres de paix, le point de chute idéal en vacances. Mais les chambres d'hôtel sont surtout un nid douillet pour les microbes ! Le point de vue d'une microbiologiste…
Notre portable nous suit partout : dans la rue, à table, aux toilettes… jusqu'à notre lit. Pensez-vous à le nettoyer ? Pensez maintenant aux microbes qui y prospèrent… Les bonnes pratiques à adopter.
Une bactérie est un microbe, donc par définition invisible à l’œil nu. Pourtant la découverte de bactéries géantes vient rebattre les cartes de notre classification du vivant.
Lorsqu’on se détend dans l’eau chaude d’un spa, il est fort probable qu’on respire ou avale les bactéries, les virus et les champignons des personnes qui partagent le bain avec vous.
Un virus a été réveillé en laboratoire après 50 000 ans passés dans le permafrost sibérien. Un phénomène qui peut se produire dans la nature suite au réchauffement climatique. Qu’en sait la science ?
Quand les conditions deviennent hostiles, de nombreux microbes forment des kystes, des formes dormantes leur permettant de survivre jusqu’à plusieurs décennies. Un problème quand on veut les éliminer…
Les microbes que nous connaissons aujourd’hui sont le fruit de milliards d’années d’évolution, certains sont nocifs, d’autres indispensables à notre survie.
Le bleuet sauvage, cette petite baie bleue qui ravit les papilles est très populaire en raison de ses qualités gustatives, mais aussi de ses bienfaits pour la santé. Mais comment est produit ce fruit ?
La crise du Covid a révélé les carences en culture scientifique – et en microbiologie. D’où l’intérêt de redécouvrir les travaux pionniers, notamment via le regard d’un expert du XIXᵉ, Hector Lebrun.
Chercheuse – cheffe de projet en éthique / neuroéthique. Domaine de recherche en éthique des neurosciences, des neurotechnologies, du numérique et de l’IA. CESP UMR 1018 Inserm, Université Paris-Saclay