Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à examiner plusieurs projets de loi sur l’euthanasie, que nous apprend l’exemple des pays européens qui ont récemment légiféré sur la question ?
Depuis des années, des parents endeuillés par la perte d’un enfant cherchent à se définir, à se nommer : le monde politique bute néanmoins sur des termes linguistiques.
Une politique claire reconnaissant aux familles ainsi qu’aux personnes significatives le droit d’être présentes au moment du décès d’un proche aurait pu empêcher l’inhumanité de mourir seul.
Les photographies récemment publiées de Yukio Mishima, prises au cours de ses dernières semaines, montrent un artiste obsédé par la mise en scène de la mort.
La crise de la mortalité liée à la pandémie a eu un impact particulier sur les lieux d’inhumation notamment pour les populations musulmanes, révélant les pratiques multiculturelles du deuil.
La philosophie peut apporter un éclairage intéressant sur notre rapport à la mort et sur la façon dont nous envisageons la liberté individuelle au sein de la société.
Les mécanismes de fixation des prix, qui peuvent être 50 fois plus élevés d’un lieu à l’autre, demeurent extrêmement complexes – et étonnamment proches de ceux des logements des vivants.
Firmin Kra, Université Alassane Ouattara de Bouaké; Bernard Taverne, Institut de recherche pour le développement (IRD); Francesca Mininel, Institut de recherche pour le développement (IRD); Francis Akindès, Université Alassane Ouattara de Bouaké; Gabriele Laborde-Balen, Institut de recherche pour le développement (IRD), and Marc Egrot, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Voici comment des anthropologues ont contribué à relever le défi de la modification des pratiques habituelles d’accompagnement des fins de vie en milieu hospitalier en contexte de Covid-19.
Recourir à la justice pénale n’est pas forcément la meilleure solution pour soulager les familles ayant perdu des proches lors de la pandémie de Covid-19.
L’aumônier d’un hôpital de Montréal raconte les soins spirituels qu’il offre aux patients et aux familles, ainsi qu’au personnel, qui se sont trouvés plus intimement exposés à la vie et à la mort.
Les nouvelles technologies permettent de gérer l’identité digitale post mortem des défunts en allant parfois jusqu’à les rendre virtuellement immortels.
La crise sanitaire a amené des milliers de personnes à faire face au deuil et à la douleur isolés, sans étreintes réconfortantes et sans support communautaire.
Derrière cette question à l’apparence simpliste se cachent beaucoup de difficultés, en effet la plupart des décès sont imputables non seulement au Covid mais potentiellement à d’autres pathologies.
Face à l’épidémie, le Royaume-Uni a longtemps refusé de mettre en place le confinement. Une attitude officiellement fondée sur des considérations scientifiques mais en réalité très politique…
Bernard Taverne, Institut de recherche pour le développement (IRD); Firmin Kra, Université Alassane Ouattara de Bouaké; Francis Akindès, Université Alassane Ouattara de Bouaké; Gabriele Laborde-Balen, Institut de recherche pour le développement (IRD); Khoudia Sow, Institut de recherche pour le développement (IRD), and Marc Egrot, Institut de recherche pour le développement (IRD)
L’accompagnement de fin de vie et le traitement du corps des défunts demeurent des aspects importants de la gestion de la crise du Covid-19. Voici comment on pourrait s’y prendre.
Docteur en droit privé et sciences criminelles, Maître de Conférences Habilité à Diriger des recherches à l'Université de Lille, Membre de l’Equipe de Recherche Appliquée au Droit Privé (CRDP), Université de Lille
Assistant Professor of Arab Crossroads Studies and Anthropology , NYU Abu Dhabi, chercheuse associée LESC, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Professeur associé, Responsable du département Marketing Analystics and Experience Insights, Titulaire de la chaire Living Health, PSB Paris School of Business