Les rédacteurs du projet de loi sur la fin de vie ont écarté toute référence au droit pénal alors même qu’il s’agit de donner la mort ou de la faire donner par un tiers. Explications.
Anna Colin-Lebedev, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Au moins 75 000 soldats russes sont morts en deux ans de guerre en Ukraine. Les familles des combattants mobilisés peinent à faire entendre leur inquiétude dans l’espace public.
Le système juridique français peut-il accepter facilement l’humusation, un nouveau mode de sépulture dont les défenseurs soulignent l’intérêt environnemental ?
Chris Miller, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Au fil des ans, les notices nécrologiques se sont allongées, laissant plus de place pour mentionner les animaux de compagnie, les passe-temps et les passions de la personne décédée.
Lysanne Lessard, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Amy T. Hsu, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Peter Tanuseputro, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Sampath Bemgal, University of New Brunswick
Une prédiction précise de l’espérance de vie peut devancer la tenue de discussions sur les préférences et les souhaits de fin de vie, ainsi que la mise en place des soins palliatifs.
Parfois, la mort est l’occasion de réattribuer une identité à ceux qui ont longtemps vécu dans l’anonymat, c’est le cas de certains sans-abris qui retrouvent ainsi un nom, une identité, une filiation.
Une formation avec des professionnels de la santé pourrait permettre aux notaires de prodiguer des conseils éclairés à leurs clients et d’être plus à l’aise dans la planification anticipée de l’AMM.
Le deuil est une réaction naturelle face à la perte d'un être cher, mais s'il perturebe considérablement votre vie, il est peut être temps de chercher l'aide d'un professionnel.
La loi québécoise ne permet pas les demandes anticipées d’aide médicale à mourir. Mais cela pourrait changer rapidement. Des pays l’appliquent déjà. Comment encadrent-ils cette pratique ?
Mieux vivre le deuil à l’aide d’un « agent conversationnel » qui permet de prolonger la conversation avec des proches disparus représente une rupture anthropologique qu’il faut questionner.
En France, il est possible de choisir un proche qui informera les soignants de nos décisions médicales si on n’est plus en mesure de le faire. Pourquoi ce dispositif n’est pas plus utilisé ?
Comment réagir face aux questions d’un enfant qui demande ce qui se passe quand on meurt ? Quelques pistes pour adapter sa réponse à chaque âge et mieux comprendre son évolution psychologique.
Les 18-34 ans sont traditionnellement peu consultés sur les questions autour de la fin de vie. Ils ont pourtant des avis à partager sur le sujet, nous montre une consultation menée avec quatre lycées.
Les humains peuvent être réanimés au bout de 10 minutes, ce qui signifie que nous pouvons avoir un certain niveau de conscience immédiatement après la mort.
Docteur en droit privé et sciences criminelles, Maître de Conférences Habilité à Diriger des recherches à l'Université de Lille, Membre de l’Equipe de Recherche Appliquée au Droit Privé (CRDP), Université de Lille
Assistant Professor of Arab Crossroads Studies and Anthropology , NYU Abu Dhabi, chercheuse associée LESC, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Professeur associé, Responsable du département Marketing Analystics and Experience Insights, Titulaire de la chaire Living Health, PSB Paris School of Business