« En Thérapie » nous donne à voir au fond comme message subliminal la fragilité et même la porosité des limites là même où elles devraient nous être garanties.
Fasciné par les écrans, notre esprit est au cœur d’un enjeu dont dépend notre avenir. Avec cet extrait du dernier essai de G. Bronner, explorons l’un des modes de fonctionnellement de l’attention.
Élaborée par des psychologues américains, l’« acceptance and commitment therapy », ou ACT, vise à moins lutter contre les souvenirs douloureux, et à œuvrer pour une vie plus en accord avec ses valeurs.
Les enfants ayant une vision très valorisée d’eux-mêmes font plus facilement figure de « leaders » auprès de leurs camarades. Mais en ont-ils vraiment les qualités ?
La protection des citoyens passe par la capacité des sociétés à favoriser la réintégration des personnes mises en cause pour faits de terrorisme. Mais cela interroge les pratiques en cours.
Elsa Bansard, Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay et Anne-Coralie Bonnaire, Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay
Une analyse de la prise de parole des chercheur·e·s en sciences sociales dans les médias français permet de dresser un bilan sur l’apport de ces disciplines pour appréhender la crise sanitaire.
Vous avez sans doute vu cette vidéo où une ancienne ballerine atteinte de la maladie d’Alzheimer semble s’éveiller et danse à l’écoute du Lac des cygnes. Que s’est-il vraiment passé ?
Raconter aux enfants l’histoire du Père Noël revient-il à sous-estimer leurs compétences ? Et si cela leur permettait au contraire d’exercer leur esprit critique ?
La confiance sociale c’est faire a priori confiance aux personnes que l’on ne connaît pas, qui ne font pas partie de nos proches. Quels sont ses ressorts ?
Résultats d’une étude en psychophysiologie montrant que les attitudes politiques liées à un large ensemble de phénomènes autoritaires sont associées à une moindre capacité à faire face au stress.
L’épidémie a augmenté les sources de stress et les risques de problèmes de la santé mentale des soignants. Une étude pilote pourrait permettre de mieux prendre en compte leurs besoins.
Devant le manque de services psychologiques, des citoyens tentent de prendre soin d’eux par la pratique des arts. L’expression artistique devient une réponse à la détresse psychologique.
Résultats des travaux d’une équipe de chercheurs qui a monté un baromètre permettant de suivre l’expérience du confinement et du déconfinement entre avril et juin 2020.
Alors que le nombre de cas positifs à la Covid-19 augmente dangereusement en France, comment expliquer qu’une partie de la population rejette encore le port du masque ?
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)