Un récent livre revient sur la genèse des pratiques de contrôle nées de la Seconde Guerre mondiale et qui restent encore en vigueur aujourd’hui dans les organisations.
Une enquête suggère tant l’importance de cette notion pour appréhender des risques pour la santé des salariés que des pistes à l’attention des dirigeants pour les en prémunir.
L’obsession du bonheur en entreprise brouille la frontière entre temps libre et temps professionnel, paralysant la réflexion des travailleurs sur ce qu’ils font.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’environnement de travail, mais aussi la reconnaissance ou encore la notion de métier participent à l’épanouissement des équipes – et donc à leur performance.
La réalité des démarches qualité, dont l’essor est relativement récent, reste souvent éloignée de l’image que les entreprises cherchent à renvoyer en les mobilisant.
La capacité à analyser les contextes dans lesquels ils interviennent permettra notamment aux coachs d’asseoir la légitimité d’une profession encore récente.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Certains facteurs de performance individuelle, comme l’intelligence situationnelle ou les interactions avec l’équipe, sont relégués au second parce que non mesurables. Ils sont pourtant essentiels.
Si nous restons au quotidien les yeux rivés sur le chronomètre, nous passons à côté des émotions positives qui sont à l’origine de nos meilleures idées.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les premiers travaux visant à mettre en place une organisation scientifique du travail ont rapidement été contestés. Près d’un siècle plus tard, ils continuent pourtant d’inspirer les entreprises.
Claude Didry, École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay
La loi travail, fortement contestée, est soutenue par un agenda politique qu’il ne faut pas craindre de discuter. Elle doit donner lieu à un diagnostic renouvelé sur ce qu’est aujourd’hui le travail.
Le prix FNEGE-EFMD a couronné cette année – entre autres – un essai sur « les données philosophiques du management ». Aujourd’hui, management et philosophie peuvent avoir des relations fécondes.