Le contact avec la nature est très bénéfique pour les enfants. Malheureusement, ce moyen naturel de favoriser leur développement est très peu utilisé de nos jours.
Peu importe la quantité d'activité physique faite dans votre jeunesse, selon la science, ce qui compte vraiment, c'est la quantité d'exercice que vous faites maintenant.
Vous préférez rester affalé devant votre télévision plutôt que de suer à la salle de sport ? Vos lointains ancêtres pourraient bien être (un peu) responsables de votre manque de motivation…
Faire du sport, c’est bon pour la santé, on le sait. Mais on sait moins que des programmes d’activité physique soignent et peuvent guérir certaines maladies.
La fonte musculaire, qu’elle soit liée au vieillissement ou à la maladie, est un problème de santé publique majeur. Les chercheurs qui l’étudient ont désormais un allié de taille : l’ours scandinave.
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.
Plus d’une entreprise française sur deux anticipe un recul marqué de l’activité dans les prochains mois. Ce pessimisme reste plus mesuré ailleurs en Europe, ou en Amérique.
Si nous restons au quotidien les yeux rivés sur le chronomètre, nous passons à côté des émotions positives qui sont à l’origine de nos meilleures idées.
L’analyse d’os anciens, vieux de centaines ou de milliers d’années, suggère que notre squelette est aujourd’hui plus fragile que celui de nos ancêtres. Ce qui n’est pas sans conséquence.
Ils inventent les activités physiques adaptées aux seniors, idée qui connaît un rayonnement extraordinaire. Pour atteindre leurs ambitions, ils ne veulent pas courir après le profit.
Permettre aux enfants de se rendre en groupe et à pied à l'école, c'est une bonne idée à l'arrivée des beaux jours . Mais les lignes « écolos » sont-elles à la hauteur de leurs promesses ?
Le travail devient une notion de plus en plus difficile à appréhender. Est-ce une corvée ou une chance ? Comment contribue-t-il à notre identité, à notre développement, à notre épanouissement ?
D’un côté, les réseaux sociaux incitent les jeunes à faire du sport et à s’alimenter sainement. De l’autre, ils favorisent des régimes extrêmes et de l’activité physique à outrance.
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm