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Articles on crises économiques

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Et si c’était le moment d’avancer sur la réflexion de la « raison d’être » des entreprises ? Titov Dmitriy / Shutterstock

La crise impose à chaque entreprise de réinventer son business model

Les craintes particulières liées à la vie humaine génèrent des questionnements qui pourraient conduire à modifier en partie les comportements des consommateurs, des salariés et des investisseurs.
En généralisant le travail à distance, les entreprises ont reporté le poids du facteur capital (connexion Internet, formation aux outils, etc.) sur leurs salarié·e·s. Jacob Lund / Shutterstock

La crise sanitaire brouille encore plus la mesure de la productivité

Déjà contestée, la mesure de l’efficacité se complique en raison du passage au télétravail qui a provoqué une transformation des facteurs de production travail et capital.
Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 est en rapide augmentation dans de nombreux États américains, y compris en Californie (ici la plage de Santa Monica le 2 juillet dernier). Mario Tama/Getty Images North America/Getty Images via AFP

Aux États-Unis, la bombe à retardement du Covid-19

Le pire n’est peut-être pas passé pour les États-Unis, où l’épidémie flambe à nouveau, menaçant la reprise économique. Cette actualité pèse sur le contexte de la présidentielle.
L’indicateur a retrouvé courant juin les niveaux observés avant la crise du Covid-19, traduisant un soulagement lié à la stagnation de la crise. Fizkes / Shutterstock

Climat des affaires : le retour de la confiance n’empêchera pas la crise

Les responsables financiers se disent nettement plus optimistes qu’à la fin du premier trimestre, mais hésitent toujours à relancer les projets d’envergure.
Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, entouré de son équipe (Agnès Pannier-Runacher pour l’industrie, Olivier Dussopt pour les comptes publics et Alain Griset pour les PME) lors du premier conseil des ministres après le remaniement, le 7 juillet dernier. Ludovic Marin / AFP

Prêts garantis par l’État : les refus seraient plus nombreux que dans les statistiques officielles

Le taux de refus de Bercy (2,4 % à mi-avril) aux demandes pour faire face aux difficultés de trésorerie ne prend probablement pas en compte les dossiers que les banques ne veulent pas monter.
Avec la pandémie, les banques pourraient être tentées de réduire leurs marges de sécurité. Witthaya lOvE / Shutterstock

Face à la crise économique, faut-il assouplir la réglementation bancaire ?

Les mesures mises en place compliquent l’identification des risques qui pèsent réellement sur les établissements.
Bien que controversées et imparfaites, ces évaluations permettent d’éviter le côté irrationnel des décisions politiques. Shutterstock

Quel est le coût d’une vie humaine ?

Les gouvernements doivent arbitrer entre la protection sanitaire de personnes à l’espérance de vie en général faible et le degré de sévérité de la crise économique.
Les entreprises françaises sont plus endettées que leurs homologues italiennes, allemandes et espagnoles. Natee K Jindakum / Shutterstock

Comment répondre à l’urgence de renforcer les fonds propres des entreprises ?

Face à la sous-capitalisation des TPE-PME françaises qui vont devoir rembourser les prêts garantis par l’État, des outils comme le prêt participatif ou les titres hybrides peuvent être mobilisés.
Si l’indice CAC 40 a chuté brutalement en mars dernier, les cours des actions des entreprises n’ont pourtant pas évolué de manière uniforme. Bertrand Guay / AFP

Quel sens donner à la chute des cours de bourse pendant la crise du Covid-19 ?

Le secteur d’activité, le niveau de dette ou encore la structure de l’actionnariat ont constitué des facteurs déterminants de l’évolution des cours au début de la crise sanitaire.
L’arrivée de nouveaux investisseurs permet à de plus en plus d’États et d’entreprises de financer leurs projets sociaux. Romolo Tavani / Shutterstock

Social bonds : changement d’échelle pour une finance durable de marché ?

La crise sanitaire a conduit à une émission record de ces obligations qui visent à financer l’accès à l’éducation, à la santé ou à l’emploi.
« Si nous payons la dette, nous ne pouvons pas manger », peut-on lire sur les pancartes de manifestantes argentines à Buenos Aires, le 11 juin dernier. Juan Mabromata / AFP

Dettes publiques : le Covid-19 augmente la contagion sur le marché des obligations d’État

La pandémie a provoqué une baisse historique des taux des obligations d’État. Mais certains pays se retrouvent désormais beaucoup plus exposés à une crise de la dette.
Manifestation contre la situation économique à Jal el Dib, au nord-est de la capitale libanaise Beyrouth, le 11 juin 2020. Patrick Baz/AFP

L’envol de la dette publique à l’origine de la crise libanaise

La profonde crise économique dans laquelle est plongé le Liban s’explique par de multiples facteurs, au premier rang desquels la politique conduite depuis des années par sa Banque centrale.
Personne n’a désormais intérêt à ce qu’une économie majeure décroche brutalement, au risque d’entraîner toutes les autres dans son sillage. Isabel Infantes / AFP

Le monde est-il devenu « too big to fail » ?

Les mesures d’urgence, les habitudes des entreprises ou encore des consommateurs rendent le scénario du maintien de l’existant plus plausible que celui de l’avènement d’un « monde d’après ».
Les banques ne s’étaient pas préparées à un choc comparable à celui du Covid-19 qui pourrait mener à une crise d’insolvabilité en cas de défaut significatif des emprunteurs, comme en 2008 avec Lehman Brothers. Tania Kitura / Shutterstock

La crise sanitaire va-t-elle générer une nouvelle crise bancaire ?

Le Covid-19 met à l’épreuve les réformes bancaires entreprises à la suite de la crise de 2008 et révèle la fragilité des dispositifs prudentiels comme des mécanismes de résolution européens.
La volonté de combattre le virus « quoi qu’il en coûte » énoncée par le président de la République Emmanuel Macron dans son allocution télévisée du 12 mars dernier, un révélateur du « moment keynésien » actuel. Denis Charlet / AFP

Relance économique : sommes-nous vraiment tous devenus keynésiens ?

Dans les travaux de l’économiste anglais, la politique budgétaire ne se réduit pas à un outil de dernier recours en période de crise.

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