Les États-Unis sont déjà le pays du monde où le nombre de victimes du Covid-19 est le plus élevé. À la crise sanitaire s’ajoute une crise économique aux conséquences encore difficiles à imaginer…
Comment clarifier la relation complexe entre scientifique et politique ? Max Weber et André Comte-Sponville peuvent éclairer notre compréhension sur ce qui différencie fondamentalement ces postures.
Les scientifiques et les universitaires se demandent quels changements la situation actuelle aura engendré une fois que la pandémie sera terminée, et si un retour à la « normalité » est même possible.
Des virus découverts chez des chauves-souris et les pangolins suggèrent que ces animaux ont joué un rôle clé dans l’émergence du Covid-19. Mais où et comment le patient zéro a-t-il pu être contaminé ?
Lionel Berthoux, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)
L'auteur compare les réticences à l'utilisation d'un traitement pour protéger ceux à risque de contracter le VIH, il y a 20 ans, à celles utilisées aujourd'hui pour décourager le port du masque.
Pendant la période de confinement, de nombreux travailleurs ont testé le travail à distance. Si pour certains l’expérience demeure mitigée, le paradigme du travail à distance a définitivement changé.
Dans les sociétés où l’individualisme est valorisé, comme en Amérique du Nord, le risque de réactance est plus élevé car l’individu présuppose que sa liberté prime sur celle de la collectivité.
Les systèmes de visioconférence conçus pour une utilisation professionnelle s’immiscent dans la vie personnelle pour resserrer des liens détendus par le confinement.
La pandémie a permis à la Corée du Sud de rééquilibrer sa relation avec les États-Unis et renforcé la dépendance politico-économique de la Corée du Nord vis-à-vis de la Chine.
Que l’on soit ou non en situation de crise, l’intégration efficace de la science dans la prise de décisions politiques améliore les projets de loi et mène à des solutions efficaces pour la société.
Avant d’en arriver à un éventuel déconfinement, il faudra encore répondre à de nombreuses questions. Une chose est sure, seul un vaccin permettra de tenir en respect le SARS-CoV-2. Où en est-on ?
La Chine profite de la crise sanitaire pour avancer ses pions en Europe. Mais ses efforts pourraient bien avoir l’effet contraire à celui espéré à Pékin…
Confinement, le remède est-il pire que le mal ? Comment raisonnent les économistes et pourquoi il faut savoir ne pas les écouter, ni face aux virus, ni face au dérèglement climatique.
La déforestation, la recherche de nouvelles terres pour le développement de l’agriculture et l’urbanisation sont autant de facteurs qui nous exposent à de nouveaux microbes.
Pour renforcer vos défenses immunitaires contre les coronavirus, l'une des choses les plus efficaces que vous puissiez faire est de maintenir vos rythmes circadiens naturels. Voici comment faire.
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
PU-PH, Professeur de Pédiatrie, Inserm UMR 1069 "Nutrition, Growth Cancer" & Inserm F-CRIN PEDSTART, Institut Européen de l'Histoire et des Cultures de l'Alimentation,Université de Tours, CHU de Tours, Inserm
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)