Les Zapotèques du sud du Mexique, communauté qui se caractérise par une forte solidarité interne, ont décidé de pratiquement se couper du monde pour échapper à l’épidémie.
Pendant deux mois, le confinement a modifié les habitudes des Français. Limitation des sorties, de l’activité physique, modification des pratiques alimentaires… Avec quel impact sur leur corpulence ?
Pendant des décennies, les espaces de travail à domicile ont été le refuge des hommes. Aujourd’hui, alors que de nombreuses familles travaillent sous un même toit, les femmes en paient le prix.
En concentrant les obligations parentales sur quelques fondamentaux simples, le confinement aurait-il, de manière transitoire, relégitimé pères et mères dans leur rôle parental ?
Pendant le confinement, les habitants des campagnes ont cruellement ressenti l’entrave à leur mobilité, mais également développé des formes de solidarités locales.
L’acception classique et dominante offre une vision restreinte à la satisfaction du client final et néglige la prise en compte des autres parties prenantes dans la stratégie d’entreprise.
Les enfants sont soumis dès leur plus jeune âge au rythme effréné de la vie moderne et apprennent se faire organiser, à être dans l’action et à performer. Le confinement les a déstabilisés.
Profitant de la forte croissance du streaming et de leur pouvoir d’influence, les mastodontes du divertissement digital ressortent gagnants de la crise et affirment leur position dominante.
Le confinement a transformé notre consommation, notamment alimentaire, de façon plus ou moins vertueuse. Tout l’enjeu est désormais de pérenniser les bonnes habitudes et de rejeter les mauvaises.
Virginie van Wassenhove, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Il nous est très difficile de mesurer objectivement notre perception du temps, très relatif. Pourtant des techniques existent pour comprendre comment nous avons perçu les durées en confinement.
Les expatriés et ceux qui se déplacent régulièrement à l’étranger estiment que leurs différents rôles ont évolué positivement depuis le début de la pandémie.
Le pire n’est peut-être pas passé pour les États-Unis, où l’épidémie flambe à nouveau, menaçant la reprise économique. Cette actualité pèse sur le contexte de la présidentielle.
Selon une enquête, les conditions de vie n’ont pas été affectées de la même façon d’une catégorie sociale à l’autre, même si les femmes ont été pour toutes les principales victimes des inégalités.
Les écoles ferment, mais les cours continuent : tel a été le mot d’ordre du ministre de l’Éducation lors du confinement. Mais qu’en a-t-il été sur le terrain ? Première analyse d’une enquête en ligne.
La crise du Covid-19 a remis en lumière la place des parents dans la communauté scolaire. Celle-ci était-elle jusqu’ici reconnue à sa juste mesure sur le terrain ? Éclairage historique.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Psychiatre, addictologue, maître de conférences des universités - Praticien hospitalier, Inserm U1028 / CNRS UMR5292, responsable du SUAL (Service Universitaire d'Addictologie de Lyon), Université Claude Bernard Lyon 1