On retrouve dans l'œuvre de Proust des allusions aux lois de l'électricité, aux rayons X, à l'effet Doppler. Il s'aventure même vers la physique quantique.
Les odeurs atteignent les zones du cerveau où sont stockées nos ressources émotionnelles. C’est pourquoi certaines substances ou certains aliments évoquent des souvenirs.
Articles de presse, romans, bandes dessinées, beaux-livres, films, émissions audiovisuelles… Les jardins de Giverny alimentent sans cesse la sphère de la culture et du divertissement.
Au-delà des peurs qu’il suscite, l’oubli est une force sans laquelle il nous est impossible de vivre dans le présent. Digérer le passé est essentiel à l’équilibre psychique.
« Nous avons, paraît-il, une manière analogue de déformer le temps », disait Marcel Proust à propos d’Einstein. Promenade d’un physicien à travers la littérature.
La culture, la littérature en l’occurrence, façonne notre mémoire, à l’instar du réel. Elle nous aide à nous construire, nous sert ensuite de référence dans les moments charnières de notre existence.
« Je refuse de croire en un Dieu qui joue aux dés avec le monde ». Einstein représente la figure de la science et a beaucoup réfléchi à la religion. Ces deux pensées sont-elles compatibles ?
Le feuilleton autour de la succession du chanteur iconique illustre bien toute la complexité de la notion de transmission, qui recouvre de nombreuses dimensions – pas seulement matérielles.
Cinéaste et ouvrier agricole, Pierre Creton invite dans son nouveau film aux rencontres, aux voyages et aux rêves en compagnie d’un fabuleux bestiaire.
Dans son livre « Du côté de chez Swann », Marcel Proust évoque des cheveux collés par la brillantine, le rouge à lèvres et l’odeur des asperges. Questions post-mortem à l’écrivain.
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)