Maxence Martin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
L’éloignement et les dimensions modestes des arbres des vieilles forêts boréales ne doivent pas nous faire oublier leur haute importance écologique, ainsi que les nombreuses menaces pesant sur elles.
S'il est vrai que les arbres individuels sont immobiles, à l’échelle de l’espèce ils peuvent se déplacer et migrer aussi bien que les oiseaux, mais sur une période différente.
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Claudio Mura, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Patricia Raymond, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Le climat en rapide changement présente de nombreux défis à affronter pour assurer la durabilité des écosystèmes forestiers. La migration assistée est un outil qui permet de faire face à ces enjeux.
Il est temps que tout le monde s’abstienne de manger, de servir ou de recommander l’anguille.
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Il ne viendrait à l’idée de personne de manger un animal en voie de disparition comme le lynx ibérique. Alors pourquoi mangeons-nous encore des anguilles ?
Une sociologie écologique devra prendre en compte les interactions entre les humains et le reste du monde vivant.
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Les activités minières destructrices dans les zones protégées du RD Congo sont monnaie courante car elles génèrent de l'argent pour les citoyens, les fonctionnaires et les groupes armés.
La mairesse de Montréal, Valérie Plante, prononce un discours lors de la cérémonie d'ouverture de la conférence de l'ONU sur la biodiversité, la COP15, à Montréal, le 6 décembre 2022.
LA PRESSE CANADIENNE/Paul Chiasson
Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.
Quatre cerfs du père David (Elaphurus davidianus), également connus sous le nom de milus, dans une zone humide près de la réserve naturelle nationale de Dafeng dans la province de Jiangsu, en Chine.
He Jinghua/VCG via Getty Images
La Chine possède de riches ressources naturelles et cherche à jouer un rôle de premier plan dans la conservation mondiale. Mais ses objectifs économiques passent souvent avant la protection de la nature.
Une érosion sans précédent de la diversité génétique s’observe actuellement chez les espèces rares comme les espèces les plus communes.
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La diversité génétique est capitale pour la survie des écosystèmes. Des engagements internationaux sont plus que jamais nécessaires et maintenant réalisables pour optimiser sa protection.
Groupe de femelles eider à duvet avec un mâle.
(Simon Laroche)
L’eider à duvet est un canard qui niche en colonie sur les îles de l’estuaire du Saint-Laurent. Le duvet que la femelle prélève pour garnir son nid possède des propriétés isolantes exceptionnelles.
Agroforêts de la côte est à Madagascar, dans la zone de production de girofles.
Stéphanie Carrière
Au XXᵉ siècle, le nombre des aires protégées ont augmenté de manière significative, pour répondre aux pressions croissantes sur les ressources naturelles, les écosystèmes et les paysages.
Transport de grumes dans l’État du Pará (nord du Brésil), en septembre 2020.
TARSO SARRAF / AFP
Si la nécessité et la modernité des mesures de restauration sont des évidences à Notre-Dame, elles ne masquent pas les besoins liés à la conservation de milliers d’autres monuments.
Un python royal est placé sur une balance lors de la pesée annuelle du zoo de Londres, à Londres, le 21 août 2013.
Leon Neal / AFP
Oiseaux, reptiles ou amphibiens… Les animaux exotiques vendus comme animaux de compagnie suscitent moins d’empathie que les grands mammifères, et la question de leur souffrance reste ignorée.
La « nature » en ville (quartier sud de Montpellier).
Raphaël Mathevet
Catastrophe pour l’industrie du tourisme, la crise a toutefois permis à certains sites menacés par un afflux trop important de visiteurs d’adopter des stratégies plus durables.
Le perroquet gris d'Afrique, une espèce rare en voie de disparition qui fait l'objet d'une surexploitation illégale.
Vincent Mayanja/AFP
Le commerce illégal d’espèces sauvages, comme les perroquets d’Afrique, risque d’accélérer leur l’extinction et représente une sérieuse menace pour la biodiversité.
Au nom d’une vision fantasmée d’une Afrique sauvage et paradisiaque, les organisations internationales qui orientent la gestion des parcs naturels africains vident ceux-ci de leurs habitants humains.
Visiteurs et babouins de Guinée s’observant mutuellement au Parc zoologique de Paris.
F-G.Grandin/MNHN
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Conservation Director, Wildlife Ecologist and Microbiologist at the African Conservation Foundation. Lecturer and board member at the Institute of Biodiversity and Non-Profit Studies, University of Buea