Les initiatives comme « C’est qui le patron ? ! » ont un impact positif mais font porter au consommateur l’entière responsabilité du changement, oubliant les rôles de l’État et des grandes entreprises.
Du point de vue du consommateur, la taxe sur la valeur ajoutée apparaît relativement injuste. Mais d’autres dimensions doivent venir compléter l’analyse.
L’offre en duty free représente aussi bien un levier de croissance pour les marques de luxe qu’un atout à faire valoir auprès des touristes quand ils choisissent leur destination.
Le consommateur estime inconsciemment que la poursuite d’un objectif de production bien précis se fait au détriment des autres caractéristiques du produit.
Un minimum d’option semble être intéressant afin de pouvoir comparer et faire un choix, mais trop d’option pourrait être perturbant, trop d’option pourrait être désemparant.
Si les pays reconnaissent l’urgence de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre en privilégiant des énergies plus vertes, la demande toujours plus forte en électricité consacre le charbon.
De plus en plus de marques se revendiquent comme luxueuses, ce qui pousse les acteurs historiques à repenser l'utilisation du terme dans leur communication.
Le « personal branding » est un processus planifié d’automarketing. Le concept a tout d’abord été utilisé par certaines personnalités. Il s’est ensuite étendu à l’ensemble de la population.
Malgré son ancrage profond dans la culture française, les enjeux environnementaux et sanitaires autour de la viande affectent sensiblement sa consommation en France.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)