Alors que rouvrent les écoles, l’accueil des enfants atteints de maladies chroniques, ou souffrant de problèmes de santé mentale, a encore été peu abordé. Quelques points de repère.
Jacinthe Dion, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Evelyne Touchette, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR); Eve Pouliot, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Mélanie Paré, Université de Montréal et Patrick Giroux, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Dans le contexte où les sources de stress augmentent pour les parents et que l’aide n’est pas toujours disponible, la flexibilité et l’indulgence sont incontournables dans la gestion des écrans.
En Afrique subsaharienne notamment, les femmes qui ont des enfants en ont beaucoup en moyenne, mais nombre d’entre elles n’en ont pas du tout. L’idée d’une forte fécondité reste donc à nuancer.
Parfois utilisé dans un cadre thérapeutique, l’arbre généalogique est aussi un support de discussion intéressant en famille, pour aider l’enfant à se situer dans le temps et réveiller les émotions.
Avec la généralisation de l’enseignement à distance a surgi l’expression de « nation apprenante ». Et voilà qu’on nous parle d’un été « apprenant et culturel ». Que nous dit ce leitmotiv ?
Les conversations avec les élèves sur les soupçons de maltraitance sont parmi les plus difficiles que les enseignants et les intervenants scolaires auront dans leur carrière. Des outils existent.
Depuis le début de l’épidémie, des pères du monde entier se mettent en scène sur les réseaux sociaux. Au-delà du divertissement, leurs vidéos montrent combien l’humour aide à surmonter la peur.
Les conséquences de l’épidémie de Covid-19 sont loin d’être toutes connues. Comme d’autres secteurs, la recherche clinique pédiatrique a subi un rude choc, mais elle pourrait en sortir renforcée.
Plus de quatre mois après le début de l’épidémie de Covid-19, et alors que le déconfinement va renvoyer dans les classes les élèves français, que sait-on des effets du coronavirus sur leur santé ?
L’écriture manuscrite n’est pas une simple habitude culturelle, c’est aussi un outil clé d’apprentissage de la lecture. S’il faut préférer le crayon au clavier, que dire des stylets pour écrans ?
Certaines écoles rouvriront leurs cantines le 11 mai, d’autres demanderont aux enfants d’apporter leur repas en classe. Une différence qui n’est pas anodine d’un point de vue historique.
Comment éduquer dans un contexte d’incertitude généralisée ? Comment armer les enfants face aux défis futurs ? La question se pose après les deux chocs que nous venons de subir.
Sélection de versions numériques ou d'adaptations animées de grands classiques pour mieux s'orienter en bibliothèque ou librairie, ou prolonger le plaisir d'une histoire.
Il ne suffit pas de transmettre un savoir à l'enfant pour bien le préparer au retour en classe. Il est tout aussi important de lui enseigner un savoir-être.
Les écoles « n’ouvriront pas partout le 11 mai », a déclaré le premier ministre ce dimanche 19 avril. Pour réfléchir aux scénarios possibles, regards sur la recherche et l’expérience d’autres pays.
En ces temps d’épidémie où les « fake news » se propagent aussi à la vitesse grand V, retour sur les rôles essentiels de l’éducation aux médias et de la formation aux sciences.
Les écoles sont fermées mais les cours continuent, assure le ministère de l’Éducation. Pour maintenir le lien avec les familles, il compte sur Internet, mais investit aussi des médias plus anciens.
Chercheur en sciences sociales et épistémologie de la santé mentale au Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Professeur des Université en pédiatrie, chef du service de pédiatrie générale et des urgences pédiatriques, hôpital Mère Enfant, CHU Nantes, Université de Nantes
Anthropologue et démographe, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et conseiller de la direction de l'INED, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)