Les universités peuvent soutenir les étudiants adultes en luttant contre la stigmatisation et l’âgisme, en créant un sentiment de communauté et en adaptant les programmes à leurs multiples rôles.
Avec la crise du Covid, les outils numériques se sont installés durablement dans l’enseignement supérieur. Mais comment les utiliser pour répondre vraiment aux besoins des étudiants ?
Alexandra Duperray, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) et Marta Craveri, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Pour venir en aide aux universitaires ayant fui l’Ukraine, la France dispose de plusieurs outils, à commencer par le Programme national d’accueil en urgence des scientifiques en exil (PAUSE).
500.000 aidants ont entre 18 à 24 ans et doivent assumer une charge logistique et mentale qui a un impact sur leur formation. Comment les soutenir pour qu’ils ne limitent pas leurs ambitions ?
Léonard Moulin, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Les études sont conçues au Danemark comme un investissement qui bénéficie à la société dans son ensemble, d’où un modèle de financement de l’enseignement supérieur par répartition.
Pour lutter contre les biais de sélection pour les postes d’enseignants-chercheurs, un laboratoire de recherche vient de tester de nouvelles modalités de recrutement. Explications.
Carole Lévesque, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Le Réseau DIALOG est une passerelle entre savoirs scientifiques et autochtones. Il renouvelle la relation entre l’université et le monde autochtone, trop longtemps caractérisée par un rapport unilatéral.
Pour réfléchir à de nouveaux modes de transmission des sciences et innover vraiment sur le plan pédagogique, encore faut-il construire un format de dialogue adéquat. Expérience.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Près de 20 ans après avoir lancé le classement de Shanghai, dont l'édition 2022 a été publiée lundi 15 août, la Chine serait-elle en train de changer de cap stratégique ?
Pour lutter contre la fraude dans l’enseignement supérieur, il ne s’agit pas seulement de changer les règlements. Il s’agit de mettre en place une nouvelle « culture d’intégrité académique ».
Présentation de l’enquête « ACADISCRI », qui porte sur la mesure statistique et sur l’analyse qualitative des discriminations dans le monde académique.
Si la santé est un bien commun, la réforme des études de médecine et celle des formations paramédicales devraient être l’affaire de tous. Voici quelques éclairages sur les enjeux en cours.
Si la présidentielle n’a pas révélé d’opposition inédite entre les candidats dans le champ de l’enseignement supérieur, le développement de l’apprentissage fait ressortir les clivages.
Pour augmenter leurs ressources propres, les universités sont incitées à développer la formation continue alors que c’est la formation initiale diplômante qui reste décisive dans la société actuelle.
Vingt ans après la disparition du sociologue et malgré la massification de l’enseignement supérieur, les analyses de Pierre Bourdieu sur les inégalités d’accès aux études restent très actuelles.
Si tout le monde semble d’accord sur le fait de favoriser l’équité et la diversité des personnes sous-représentées dans les universités, cela n’est pas simple à réaliser sans créer des injustices.
L’accès à un emploi stable a été repoussé de plusieurs années au cours des dernières décennies. Il est aussi devenu réversible pour beaucoup de jeunes, avec des allers-retours entre études et travail.
Depuis la pandémie, les chercheurs universitaires voyagent moins, et émettent donc moins de gaz à effet de serre. Les conférences virtuelles ou hybrides sont-elles là pour rester ?
On demande davantage aux femmes universitaires de prendre en charge la besogne institutionnelle et d’offrir aide et soutien. Ces tâches, non reconnues, ont un impact sur leur carrière.
Professeur des Universités en Biochimie, Chef du département Génie Biologique de l'IUT Sénart-Fontainebleau; Président de PROMOSCIENCES, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)