L'humain d'aujourd'hui vit de plus en plus enfermé dans sa maison énergétique et écolo ce qui le prive, paradoxalement, de liens véritables avec la nature.
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Pour des questions purement énergétiques, on se protège toujours plus de notre environnement extérieur. Au bout du compte, on s’enferme dans des bâtiments, devenus des objets solitaires.
Le surpeuplement des logements n’aide pas à enrayer la Covid-19.
(Nazish Mirekar/Unsplash)
Le Canada fait de grands progrès en ce qui concerne la politique de logement lors de la pandémie de Covid-19, mais les mesures permanentes tardent à venir.
Le 17 mars 2020, gare Montparnasse, un afflux de voyageurs partant se confiner hors de Paris.
Yankel Fijalkow, École nationale supérieure d’architecture de Paris Val de Seine (ENSAPVS) – USPC
Nombreux seraient les citadins qui aspirent à quitter les métropoles. Mais répondent-ils alors à l’appel de la nature ? L’histoire et les données du confinement révèlent une situation plus complexe.
Vue imaginaire de l’intérieur d’un « bâtiment vivant ».
Assia Stefanova/Hub for Biotechnology in the Built Environment
Dans les églises, l’art et le silence invitent au repos et à la contemplation.
Les interfaces entre les hôpitaux et les espaces publics contribuent au soin. Jardin de l'Hospice Debrousse dans le XXème arrondissement à Paris, 2017.
Guilhem Vellut/Wikimedia
Quelles sont les limites réelles des fortifications censées nous protéger du délitement collectif ?
Panneaux photovoltaïques, structure et façades légères en bois local (biosourcée)… cette maison dite écologique reste une résidence secondaire, inoccupée 90% du temps, et implantée au beau milieu d'un espace naturel.
Cristóbal Vial Decombe
François Langevin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’hôpital s’est peu à peu complexifié et éloigné des villes, générant moult problèmes pour les soignants et les soignés. D’où la nécessité d’un nouveau type d’établissements de soins de proximité.
Un collectif d’architectes, d’urbanistes et d’historiens de l’art a appelé à repenser le projet de la future gare du Nord « de fond en comble » en septembre dernier.
Philippe LOPEZ / AFP
Espace ferroviaire ou commercial ? L’opposition entre ces deux visions explique le vif débat autour du projet pour la gare parisienne, qui doit faire peau neuve d’ici 2024.
La réalité augmentée a notamment des applications en matière de modélisation.
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Qu’est-ce qui se joue entre un territoire, une ville, et la production d’une œuvre cinématographique ? Bonnes feuilles du livre de Gwenaële Rot, « Planter le décor, Une sociologie des tournages ».
À elle seule, la climatisation à prévoir pour l’évènement nécessiterait de recouvrir un dixième du pays de panneaux solaires.
Un atelier citoyen autour de la végétalisation dans les jardins de Kaloupilé au coeur du quartier urbain de Ravine Blanche au Tampon, la Réunion. L'Ile expérimente des concepts de ville plus inclusive et plus sociale.
Ecole du Jardin Planétaire
Jane Coulon, École Nationale Supérieure d'Architecture Montpellier (ENSAM) and Karine Dupré, Griffith University
Comment rendre une ville « heureuse » ? Les exemples pris sur l’île de la Réunion montrent que la démocratie participative peut contribuer à améliorer le quotidien des habitants.
Au cours du siècle, les températures moyennes dans certaines zones de la péninsule arabique pourraient avoisiner les 60° C.
Erwin Bolwidt/Flickr
Dans le Golfe persique, où les températures devraient exploser au cours du XXIᵉ siècle, l’architecture traditionnelle pourrait aider les populations à s’adapter à cette chaleur.
Une simulation de reconstruction audacieuse.
Miysis 3D Studio
Professeur de management stratégique, directrice des programmes du MSc Arts & Creative Industries Management à Paris et de la partie française de l'Institut Franco-Chinois de Management des Arts et du Design à Shanghai, Kedge Business School