Depuis le début de l’épidémie, des pères du monde entier se mettent en scène sur les réseaux sociaux. Au-delà du divertissement, leurs vidéos montrent combien l’humour aide à surmonter la peur.
Est-il possible de faire de la science dans l’urgence ? Les règles établies de validation des avancées scientifiques sont bouleversées par l’utilisation d’outils ouverts au grand public.
Les fab lab sont équipés pour concevoir de nouvelles technologies et les prototyper rapidement – en attendant le passage à l’échelle industrielle, ils équipent soignants et patients.
L’industrie du rap est un secteur hyperconcurrentiel où seules la collaboration, la gestion de la visibilité et la création du buzz permettent de réussir et de se faire… « valider ».
Une analyse « nethnographique » des réseaux sociaux en France permet de confirmer les conclusions de la théorie de la gestion de la terreur de l’anthropologue Ernest Becker.
Les systèmes de visioconférence conçus pour une utilisation professionnelle s’immiscent dans la vie personnelle pour resserrer des liens détendus par le confinement.
En ces temps d’épidémie où les « fake news » se propagent aussi à la vitesse grand V, retour sur les rôles essentiels de l’éducation aux médias et de la formation aux sciences.
Individuellement, nous sommes tous démunis devant la crise du coronavirus. Un boom collaboratif mondial est en train de changer la manière dont la science se fait.
Le combat contre le Covid-19 redonne à l’État un rôle central légitime, mais la France ne pourra pas résister efficacement sans la mobilisation de la société civile.
En ces temps d’épidémie, entre remèdes miracles et théories du complot, des infox en tous genres pullulent sur Internet. Kit de survie pour une bonne hygiène d’information.
L’espace est devenu inutile, les villes se sont vidées, les rues et les routes sont désertes, le monde se dissout, mais il demeure à travers le point de vue de chacun confiné chez lui.
Marc Bidan, Auteurs historiques The Conversation France
L’étude des différentes stratégies de communication des géants du web montre comment ils s’adaptent et tirent profit, chacun différement, du confinement qui touche désormais un milliard d’humains.
Si la consultation intempestive de smartphones interfère avec les échanges en famille, le numérique permet aussi de se construire des références communes. Quelques pistes pour mieux penser son usage.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School