Analyse critique de l’ouvrage de Cahuc et Zylberberg, « Le Négationnisme Économique ». Derrière le débat entre économistes, un autre apparaît entre libéraux et anti-libéraux.
Plaidoyer pour un véritable dispositif expérimental dans les sciences économiques. Illustré par la question de l’effet des dépenses publiques sur l’activité : l’efficacité des politiques keynésiennes.
Quand Pierre Cahuc et André Zylberberg dénient toute légitimité aux confrères qui ont le tort de ne pas penser comme eux, allant jusqu’à les traiter de « négationnistes ».
Pierre-André Juven, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Les actes réalisés à l’hôpital font l’objet d’une tarification, dont dépend leur financement. Le calcul de ces prix fait débat et les citoyens ont leur mot à dire.
Alors que l’on s’attend à une hausse des taux d’intérêt, où en est la conjoncture américaine ? Une croissance fragile et une économie profondément transformée rendent délicates les anticipations.
Ou l'on comprend, à travers quelques artefacts des sciences de gestion, pourquoi la rentrée politique se fait sur fond de surenchère identitaire. Et pourquoi ça risque de durer…
Gaël Giraud, Agence française de développement (AFD)
S’entêter à vouloir faire croître indéfiniment le PIB est contre-productif à l’heure où les changements climatiques imposent une véritable transition écologique.
Inflation zéro, taux d’intérêt zéro… et croissance zéro. La situation actuelle qui remet en cause les indicateurs habituels, annonce-t-elle un changement de modèle ?
Le budget de l’État est un domaine complexe, mais essentiel pour la vie politique. Dans les pays du sud, l’initiative des « budgets citoyens » vise à mieux informer – et associer – les citoyens.
Recevant en avril un rapport sur la fusion des minima sociaux, le premier ministre s’est dit favorable à un débat sur le revenu universel de base. La Suisse va voter sur le sujet.
Jean Tirole, Toulouse School of Economics – École d'Économie de Toulouse
Extrait de l’ouvrage du Prix Nobel Jean Tirole « Économie du bien commun ». Où il est question du voile d’ignorance, de l’intérêt général, du bien-être… et du rôle de l’économie.
L’industrie des services financiers connait une série de révolutions avec l’arrivée des sociétés de fintech alors que les banques mènent leur transformation numérique. Un match à forts enjeux.
Les pays émergents, sur lesquels reposaient les espoirs de la croissance mondiale, n’ont jamais été aussi endettés, et surtout via leurs entreprises. Pourraient-il provoquer une crise ?
Où se situe l’économie du savoir dans un monde porté sur l’innovation ? Quels sont les exemples emblématiques de ce défi financier, et quelles sont les pratiques budgétaires à adopter ?
Face aux développements du trading haute fréquence, les régulateurs des marchés boursiers tentent de nouveaux systèmes. Dont des ventes aux enchères améliorées, les marchés en temps discret. Analyse.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)