Dans une tribune, de nombreux acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche marquent leur détermination à s’engager dans la transition écologique et la lutte contre le changement climatique.
L’ancien directeur de l’Institut Goddard des études spatiales de la Nasa détaille dans une interview à The Conversation ses propositions choc pour faire face au changement climatique.
La France et l’Union européenne sont-elles condamnées à jouer les seconds rôles à la COP21, éclipsées par le duo sino-américain qui mène la diplomatie climatique mondiale ?
Marco Morosini, Swiss Federal Institute of Technology Zurich
Vouloir continuer à exploiter de nouvelles réserves d’énergies fossiles ne fera qu’intensifier les grands mouvements de populations fuyant les catastrophes climatiques.
Philippe Bousquet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
À trop vouloir condenser leurs volumineux rapports sur le changement climatique, les experts du GIEC ont rendu leurs célèbres « résumés pour décideurs » difficilement compréhensibles.
Durant toute la durée de la COP21, les étudiants du Master journalisme et médias numériques de l’Université de Lorraine illustreront chaque jour un aspect de la conférence climat.
Si Washington s’oppose à un accord sur le climat qui serait, à l’image du Protocole de Kyoto, juridiquement contraignant, il insiste sur la nécessaire « transparence » des engagements nationaux.
Contenir les effets du changement climatique en faisant converger le droit des pays les plus riches et celui des pays en développement, tel est l’enjeu de l’équité climatique.
Les attentats qui viennent de frapper Paris pousseront peut-être les dirigeants attendus à la COP21 à redoubler d’efforts pour faire bloc et atteindre un accord sur le climat.
Avec la récente victoire de Donald Trump à la présidence des États-Unis, le climatoscepticisme refait parler de lui. Quels sont les arguments de ceux qui dénoncent le « complot réchauffiste » ?
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Dans le troisième volet de sa contribution sur climatoscepticisme et opposition aux OGM, Philippe Huneman montre comment la défiance envers les experts n’est pas une posture tout d’un bloc.
S’éloignant du système contraignant du Protocole de Kyoto, l’accord attendu à la COP21 sera négocié sur la base des contributions nationales, ces engagements volontaires des États en faveur du climat.
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
À l’occasion de la COP 21, les sceptiques du climat refont parler d’eux. S’inscrivent-ils dans un mouvement de défiance envers la science où l’on trouverait aussi les anti-OGM ? Rien n’est moins sûr.
Pour contribuer à une authentique justice climatique, il convient d’aborder la question des émissions de CO₂e à un niveau individuel et pas seulement de pays à pays.
La « Conférence des parties » est une grande réunion mondiale dont les décisions tirent leur légitimité du multilatéralisme et de la participation de la totalité des États de la planète.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)